Présentation
Jérôme Le Tellier est né en France 1967 où il vit et travaille actuellement.
Après avoir fait des études d’art graphiques et d’histoire de l’art, Jérôme Le Tellier débute sa carrière comme photographe d’objets d’art pour de prestigieux musées et collectionneurs à l’étranger. Au fil du temps, cette proximité avec les objets d’art des XVIIIe et XIXe siècles trouvera un écho dans une enfance passée sur l’ancien parc de la Reine Hortense, et fera éclore sa passion pour l’art des grands jardins classiques et des parcs à fabriques qu’il «portraiture» en noir et blanc, à la manière d’un graveur.
Son intérêt pour les grands jardins classiques le conduit à réaliser un ensemble de quarante photographies du domaine de Villarceaux, qu’il présente sur place en 2003, puis un travail sur le thème des Maisons d’Ecrivains, qu’il expose en 2005 au Conseil Régional d’Île de France.
Classique, intemporel, un rien nostalgique voire mélancolique, ses points de vue dénués de toute présence humaine traquent le mystère de l’esprit des lieux, du temps de leur moment de faste. Photographe « d’après la fête », Jérôme Le Tellier se dit « plus proche de la poétique des ruines d’Hubert Robert que des fêtes galantes de Watteau ». Se plaçant comme en embuscade, il nous livre, calmes, reposées, filtrées, des traces de bonheur arrachées au précipité d’une modernité tenue voluptueusement à distance.
Il a travaillé en Angleterre (collection Rothschild de Waddesdon Manor) et aux Etats-Unis (Getty Center de Los Angeles, Museum of Modern Art de New-York).
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Après avoir fait des études d’art graphiques et d’histoire de l’art, Jérôme Le Tellier débute sa carrière comme photographe d’objets d’art pour de prestigieux musées et collectionneurs à l’étranger. Au fil du temps, cette proximité avec les objets d’art des XVIIIe et XIXe siècles trouvera un écho dans une enfance passée sur l’ancien parc de la Reine Hortense, et fera éclore sa passion pour l’art des grands jardins classiques et des parcs à fabriques qu’il «portraiture» en noir et blanc, à la manière d’un graveur.
Son intérêt pour les grands jardins classiques le conduit à réaliser un ensemble de quarante photographies du domaine de Villarceaux, qu’il présente sur place en 2003, puis un travail sur le thème des Maisons d’Ecrivains, qu’il expose en 2005 au Conseil Régional d’Île de France.
Classique, intemporel, un rien nostalgique voire mélancolique, ses points de vue dénués de toute présence humaine traquent le mystère de l’esprit des lieux, du temps de leur moment de faste. Photographe « d’après la fête », Jérôme Le Tellier se dit « plus proche de la poétique des ruines d’Hubert Robert que des fêtes galantes de Watteau ». Se plaçant comme en embuscade, il nous livre, calmes, reposées, filtrées, des traces de bonheur arrachées au précipité d’une modernité tenue voluptueusement à distance.
Il a travaillé en Angleterre (collection Rothschild de Waddesdon Manor) et aux Etats-Unis (Getty Center de Los Angeles, Museum of Modern Art de New-York).
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Quand est né(e) Jérôme Le Tellier ?
L'année de naissance de l'artiste est : 1967