Présentation

«Bernard BASCHET (1917 France 2015) est un sculpteur international abstrait de renom. Son œuvre sculpturale est moins connu que ses inventions et ses sculptures musicales de cristal et de métal, car en 1952 il invente le célèbre Cristal Baschet. En 1966 l’exposition personnelle Baschet au MOMA Museum of Modern Art of New York dure quatre mois, attire le grand public et obtient un grand retentissement avec son concert à La Maison Blanche pour le Président des Etats Unis, elle est prolongée à la demande publique par une tournée d’expositions des plus grands musées des Etats-Unis. Les portes des grandes collections d’art lui sont alors et depuis très largement ouvertes. Cette année 1966 Baschet sculpte les 15 sculptures-robes de métal du célèbre film “Who are you Polly Magoo ?” Metropolitan Museum of Art, Musée Arts Décoratifs Paris. En 1975 son « Instrumentarium » révolutionne l’enseignement musical en France et bientôt aux Etats-Unis, La Guggenheim Fundation le sollicite, avec le succès pour les deux continents, et c’est ainsi qu’aux Olympiades des Arts de Paris que j’organisais en 1992 des enfants et des quarantenaires sans formation musicale jouaient spontanément, soudain plongés dans l’univers de leur enfance, sur ces sculptures cinétiques musicales de 1952 ou sur les 14 instruments de musique de « L’Instrumentarium» de 1975, déjà si familiers, témoins des échos sonores du monde, une invitation à jouer de couleurs vives.

Inventeur de génie        Dès 1949, il pratique la Musique Concrète et l’abstraction sculpturale, avec la technique de l’origami à son plus haut niveau pour ses sculptures miniatures ou monumentales. Dès 1952 il expérimente l’Histoire de l’Acoustique afin d’inventer ce qui n’existe pas et créer ses sculptures sonores sublimant l’ouïe et l’œil.

Enfance et Formation   Baschet nait dans une fratrie de cinq enfants dans le VIe arrondissement de Paris, ils vont à l’Ecole Alsacienne, il s’y s’épanouit jusqu’en Troisième, mais lorsque ses parents le « déportent », selon ses termes, dans le XVIe arrondissement et St Jean de Passy, il devient un cancre et, dit-il : « J’ai mis cinq ans à passer mes bacs » Il décide de devenir coursier et me confie : « J’ai vu l’échelle sociale ! Alors j’ai créé ma méthode d’apprentissage, seul le côté droit de mon cerveau fonctionne, j’ai passé mon bac Maths élém et Philo en même temps. Reçu à Louis Le Grand, je m’inscris interne à Henri IV, puis Maths Spé, Maths Sup, Hypo Taupe, en 1939 à L’Ecole Centrale, j’obtiens mon diplôme d’ingénieur en un temps record. 

D’un Génie Artiste authentique à l’opposé d’un Con Artist 

En 1946 Bernard est éditeur d’ouvrages didactiques médicaux par la photo, il crée un appareil photo révolutionnaire, en 1947 il invente d’un appareil pour d’éditions de photos grandeur nature. D’une grande humilité le « Credo » de Bernard est que le nom de l’artiste ne compte pas. Son label n’est pas celui d’une étiquette de camembert pour vendre son fromage ! L’œuvre seule compte et doit perdurer dans le temps. Ainsi «La musique, l’art sont universels» à partager, l’artiste n’est pas un sous-produit relation publique ou donneur d’ordre à un tailleur de pierre. Ceci A contrario d’un Jeff Koons ou Damien Hearst, dont la « valeur » n’existe que grâce à leurs financements personnels des «auctioneers» et des media. Ces « Market’Istes» ne savent pas peindre, sculpter, graver, mais ces publicistes déjà pointés du doigt par Rodin. Dès 1984 cette dictature des Tartuffes assortie d’une politique inique fait qu’en France, le marché de l’art rétrécit comme peau de chagrin, l’aura de Paris se ternit, aussi Bernard se tourne vers l’associatif et le champ de l’éducation musicale pour diffuser l’art. 

1952 1960 D’un génie qui par nécessité cumule trois vies professionnelles

Dès 1952, il cumule trois vies professionnelles jusqu’à sa retraite afin de pourvoir aux besoins de son épouse Marguerite et ses cinq enfants. Il gère une scierie dans les Landes, un autre travail est obligatoire pour financer ses fabrications de Cristal Baschet et ses expositions internationales. De 1960 à 1961, il est professeur de Maths à L’Ecole Alsacienne de son enfance. Puis, Pierre Schaeffer, fonctionnaire de l’ORTF, connaissant son étude de la musique concrète depuis 1949 et son diplôme d’ingénieur de Centrale, et qui, n’obtient rien de bien « concret » engage Bernard pour enfin concrétiser sa théorie de la Musique Concrète d’ores et déjà annoncée et subventionnée. Deux ans durant Bernard expérimente analyse puis élabore la théorie. En 1991, un ancien de l’équipe du GRMC me confie : « Quand Baschet est arrivé, dans ce Centre de Recherche riche de grands financements, il n’y avait rien, juste deux ou trois pages de théorie pour obtenir les subventions de Schaeffer. Au départ de l’humble Bernard Baschet, il y avait 400 pages, la théorie de la musique concrète était actée. » Mais Baschet est contractuel, une fois sa théorie finalisée et remise à Schoeffer, il n'a plus de travail, Schaeffer fonctionnaire rentier de l’ORTF reste maître du jeu. Baschet s’efface à regret, mais reprend sa vie d’artiste, d’inventeur et de sculpteur, sans argent vaillant il crée ses meubles de bois de bric et de broc pour manger à l’atelier, sur ses tables « Pieuvre » et partager bientôt les célèbres déjeuners du 11, rue Jean de Beauvais, où se pressent les acteurs internationaux de l’art sans aucune hiérarchie. En 2000, son frère continue seul, mais Arnaud Pommier filme « Les Frères Baschet à l’atelier », visible de nos jours encore sur YouTube.

Inventeur sculpteur et « Facteur » de génie d’instrument de musique 

Comme un sculpteur authentique, le facteur de musique ne délègue pas sans oeuvrer. Il ne donne pas une photo avec condescendance à un tailleur de pierre de Carrare pour s’autoproclamer artiste ou sculpteur. Bernard est l’inventeur par l’esprit, le créateur, le concepteur, mais aussi, le « Facteur d’instrument », c’est-à-dire, le dompteur, le sculpteur qui lutte corps à corps avec la matière. Il pratique avec imagination mais aussi une grande précision tactile l’origami de métal, il fabrique, restaure, accorde le métal ou le cristal, dans la grande tradition des maîtres de l'artisanat d'art d’exception, car ce passionné de musique, de savoir et de technique, sait allier savoirs ancestraux et techniques de pointe.

1952 Cristal Baschet un son ample infini a contrario du numérique réduit

En 1952 il invente et sculpte le célèbre Cristal Baschet, œuvre d’art et dernier instrument de musique, sculpture musicale de métal et piano de cristal sur laquelle on joue de la musique classique mystique, magnifique, ample, contemporaine ou concrète à l’Opéra de Shanghai et dans les cathédrales. En 2006, lors d’une visioconférence avec Lise Cormery à l’Université de Paris Diderot Cité, Bernard démontre avec Deneuve que le son numérique est infiniment faible, comparé au son Baschet, il n’atteint jamais l’amplitude de vibration qui provoque l’émotion. C’est ainsi que lors de la visioconférence la régie numérique est incapable de transmettre le son car l’informatique bride l’ampleur et la qualité vibratoire Baschet. Le son de Jean-Michel Jarre, pauvre, avec une transmission faible passe le seuil informatique. 

1975 Création de « L’instrumentarium » France Etats-Unis 

Création d’une série d’instruments de toutes les musiques du monde pour l’éveil musical et la formation des enfants dans les écoles en France, puis aux Etats-Unis avec Le Guggenheim Museum Fundation « Learning to Read through the Arts » est un programme d’initiation pour la réinsertion de communautés Afro-Américaines. Depuis L’Instrumentarium fait partie de la culture musicale des enfants des écoles sur les deux continents. 

L’œuvre sculpturale de Bernard Baschet et l’esprit

Pour ses sculptures miniatures ou monumentales en métal, acier, aluminium ou cuivre il utilise la technique de l’Origami et ses seuls instruments sont ses mains sur un coin de table. Sa sculpture miniature fixe ses idées pour ses formats qui peuvent être de la taille des Beffrois des églises de France. 

Son œuvre sculpturale spirituelle ou matérielle

Ses thèmes de prédilection peuvent être spirituels comme « Le Prophète », « Le Saint Esprit », « Le Bénitier », « Le Christ en Gloire », « Bouddha », « L’Archange », ou matériels comme « Couple », « Nénuphar », « Design », « Horloge aléatoire », etc.

Une sculpture qui oublie la masse et sublime l’espace

Bernard Baschet n’insiste plus sur la masse de sa sculpture mais sublime son espace, c’est ainsi que son « Bouddha » vide est représenté comme un support de lumière. Ses sculptures «Bouddha», «Saint Esprit» ou «Archange» en sont une éclatante démonstration sculpturale, prouesse technique que son œil et sa main seule sait dompter. Bernard Baschet réussit cet impossible pari, sculpter l’espace du sujet et non sa matière. Nous donner à voir un sujet qui n’est plus que ligne sans profondeur aucune mais que l’on reconnait. Une fantastique démonstration de la représentation de l’esprit et de la foi, qui est, mais qui pourtant, n’est pas visible.

Solo Shows Museum Prix Films et Musiques Discographie

1958 Grand Prix du Disque 1962 1963 1964 Musée des Arts Décoratifs Paris, «Design» «L’objet» 1965 Finish Design Center, Helsinki. Moderna Museet, Stockolm, Suède. Kanstindustrimuseet, Oslo, Norvège. 1966 Musée d’Art Moderne de New York MOMA, 4 mois, USA. Tournée muséale Etats-Unis. Museo di Ciencias y Artes, Mexico, Mexique. 1966 “Who are You Polly Magoo?” Création, fabrication, exposition de 15 Sculptures-Robes BASCHET », Sculptures en aluminium sculptées à la main avec la technique de l’origami pour le Film de William Klein. 1967 Maison Culture d’Amiens, France. 1968 Olympiades des Arts Olympic Games, Exposition de 240 Sculptures, Mexico, Mexique. « HEMISPHAIR » San Antonio, Texas, USA. 1968 Musée d’art moderne Ville de Paris France 1969 Arts Club, Chicago, USA. 1970 Expo 70, Exposition Universelle, Osaka, Japon. 1971 Palais Beaux-Arts, Bruxelles, Belgique. Kunsthalle Cologne, Allemagne. 1972 Museums Allemagne, Kunsthalle Recklinghausen. Stadhhaus Hamm, Kunsthalle Wolfsburg. Landesmuseum Münster. Akademie der Kunste Berlin. Böttcherstrasse, Bramen. 1973 Museums Danemark Kanstforening Lyndgby-Taarbek, Copenhagen. Kanstforening, Aarhus. 1973 Maison de La Culture Orléans 1974 Musée de Chartres. Museums Narbonne et Blois. 1975 Musée Abbaye de Fontevrault 1976 Wadsworth Atheneum, Hartford, Connecticut, USA. Maison de la Culture, Tournai, Belgique. Université de Liège, Belgique. Maison de la Culture Nivelle, Belgique. 1978 Museum National Israël, Jérusalem. 1979 Fondation Miro, Barcelone, Espagne. 1981 Museum Bellerive, Zurich, Suisse. 1982 Wodsworth Atheneum, Hartford, Connecticut. USA. 1983 Barbican Conservatory Gallery, Londres, Angleterre. Osaka Museum of Contemporary Art Chicago, etc. 1982 Reine du Danemark inaugure show Baschet, Président Mitterrand lui offre une sculpture Baschet. 

Art Olympiads Paris Olympiades des Arts 

En 1991 1992, lors des Olympiades des Arts de Paris, évènement international sous l'égide du Président Mitterrand et du Maire de Paris, Jacques Chirac, Bernard Baschet est sélectionné avec son frère François, dont l’œuvre sculpturale est différente, pour représenter la France lors des Olympiades des Arts organisées par la Galerie Lise Cormery, pour le CNOSF, Comité National Olympique et Sportif Français, à l'occasion des Jeux Olympiques d’hiver. Solo Shows CNIT La Défense, Campus de l’INSEP, Galerie Lise Cormery, Paris. 2000 Exposition historique 1952-2000 Hommage, Cité Musée de la Musique et Galerie Lise Cormery, Paris. 2011 Solo Show « Bernard BASCHET Gilles CORMERY (1950-1999) Maîtres de l’Ecole de Paris d’Après-Guerre» 2013 Inauguration Conservatoire Baschet St Michel Sur Orge Essonne. Après l’inauguration, suite à un AVC dont il se remet vite, Bernard se réveille mis sous tutelle, dépossédé de sa maison, en prison de retraite à Ris-Orangis. Sa seule autorisation de sortie, un taxi pour travailler deux fois par semaine à son atelier. Les bénéficiaires de son mécénat depuis 20 ans refusent ma demande de casser sa tutelle par le TGI 2014 Autorisé à donner un concert en juin (photo) Bernard prouve à tous que ses facultés sont intactes. 2015 2011 Bernard Baschet meurt de chagrin dans sa prison de Ris Orangis. 2015 Bernard en 2011 me sculpte et m’offre une surprise « Lingam » d’après son œuvre de jeunesse, que j’admirais depuis tant d’années dans son atelier de St Michel où l’on se rencontrait pour son Catalogue Raisonné. Bernard m’écrit : « Lise, je suis trop vieux ! Mes mains qui m’ont tant donné ne suivent plus ! » et, pourtant il m’offre cette merveille pour son exposition en duo avec mon frère. Si ce n’était qu’une plaque de métal, son façonnage et sa sculpture de l’origami avec l’esprit de Bernard et sous ses mains devenait de l’argent mystique, acier spirituel qui s’envolait et faisait vibrer les émotions. Bernard connaissait mon chagrin toujours lancinant et m’offrait ce Bénitier, O combien symbolique, en souvenir de Gilles, mon frère de chair, car j’étais aussi son humble sœur de cœur, mécène de 1989 à sa mort, au grand désespoir de nos familles, pourtant bien entretenues par notre labeur mais qui nous tenaient rigueur du peu de sang qui pourrait encore les abreuver, faisant tout pour nous démunir de nos rares espaces de liberté par l’art. Pourtant si salvateurs avec Bernard, le loyal, qui me confiait que les musées et commissaires-priseurs venaient à la galerie mais achetaient à son atelier. En 2015, les cannibales attaquent et exigent mon «Bénitier», dernier lien d’amitié avec Bernard. Je laisse leur dernier trophée à ces âmes vides. Bernard aimait me sculpter et m’offrir ses Bouddhas. Il enseigne que l’âme doit être exempte de colère pour se purifier et monter au moment de la mort[1]. Afin de permettre à l’âme de Cristal de Bernard de monter, je me séparais à grand regret, du grand « Lingam Bénitier Bouddha » de 2011 copie de l’ancien trésor, en mémoire de mon frère, pour son Ascension vers une vie plus claire qui n’aura récolté sur cette terre que misère. Libérée sans être entachée par la colère et l’envie, la belle âme de cristal de Bernard est montée enfin libérée. Bernard et Gilles, frères de chair et d’âme, enfin loin de l’immonde pesanteur reposent enfin dans l’ailleurs. 2015 1989 Exposition permanente Sculptures et Structures Bernard Baschet, Galerie Lise Cormery, Paris.

1959 A nos jours Musique de films Baschet et sur Cristal Baschet

Sur Cristal Baschet 1959 Baschet écrit à la demande de Jean Cocteau la musique du Testament d'Orphée, La Marche de l'Empereur, Solaris, La saison des Orphelins, Manu Dibango, Vanessa Paradis, Thomas Bloch Daft Punk, Michel Legrand, etc.

Visioconférences Livres de Lise Cormery 

En 2006, Lise Cormery invite Bernard à son Symposium Art & @rt en visioconférences à l’Université Paris Cité Diderot afin qu’il y présente sa théorie musicale et sculpturale, c’est ainsi que l’on peut voir Bernard nous expliquer avec sa simplicité et sa clarté habituelle sa théorie et sa pratique dorénavant visible sur YouTube et RAP, Réseau Académique Parisien. Cette biographie de Bernard Baschet est écrite bien volontiers par amitié pour ARTSPER. Elle comprend des extraits des livres de Lise Cormery, «Bernard Baschet L’art de L’Ecole de Paris d’Après-Guerre» Michelangelo, Paris, 2020. «Bernard Baschet Des Artistes Libres Bons à rien ou Trésors Vivants ?  Université Paris Cité Diderot Publi P7, 2007. « Bernard Baschet Sculpteur et inventeur», Lise Cormery, Editions A & C, Paris, 1991.

Le vœu de Bernard Baschet, selon lequel seule la musique et l’œuvre doivent perdurer, est exaucée, l’Association Baschet continue son chemin pour transmettre aux générations futures l’enseignement de l’art sculptural et de la musique. Les mains et l’esprit de Bernard ne sont plus là pour donner ce son magique à ses instruments où il oeuvrait comme sculpteur, facteur d’instrument, mais l’esprit Baschet demeure.

2015 L’envol de l’âme de cristal de Bernard

Bernard sera la victime de ce XXIe siècle où l’Occident arrogant, tout en méprisant les sociétés africaines nobles qui respectent leurs Anciens jusqu’à la mort, invente une nouvelle économie florissante des Mouroirs et du Désespoir. En 2015 Bernard meurt de chagrin dans sa prison de Ris Orangis, et lui, qui a toujours pourvu aux besoins de sa tribu par son travail acharné, me confie, « Rends-toi compte Lise, je n’ai même plus le droit de faire un chèque ! ». Pourtant, son cerveau prodigieux et sa bienveillance demeuraient intacts, j’en suis témoin. Il était mon frère de cœur. Je l’ai perdu, comme mon frère de sang, à grand regret, à jamais, mais son âme était si claire qu’elle a su s’extirper du désespoir, lumineuse, comme un Cristal. Lise Cormery[1] Lise Cormery, «Bouddha, Christ, Shekinah, Prier au moment de la mort pour son bienaimé, Pray for the Beloved one when death comes» Paris, Michelangelo Publications, 2019.


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Sculpture, Saint Esprit argent 1990 Holy Spirit silver, Bernard BASCHET

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Sculpture - 11.5 x 10 x 5 cm Sculpture - 4.5 x 3.9 x 2 inch

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L'année de naissance de l'artiste est : 1917