Guilhem Ribart
France • 1977
Présentation
Quelle notion complexe que le bonheur. Ceux qui ont tout pour l'être sont tristes, ceux qui n'ont rien semblent heureux… Voilà le constat de ce qui allait devenir le fil rouge de ma démarche introspective à travers la photographie rendue possible par de magnifiques rencontres à travers le monde.
Mon aventure débuta à Paris, la ville des lumières, celle qui attire tant de touristes chaque année, pressés de visiter la plus belle ville du monde.
Et pourtant, plus je quittais cette ville et plus, lorsque j'y revenais, je croisais des gens à l'air tristes et malheureux. Premières interrogations, premiers doutes et premières remises en question.
Puis vint la découverte de l'appareil photographique, le temps de mes premiers voyages en Afrique, la confrontation au dénuement parfois total de certains et pourtant … pourtant… Des sourires, de la fraternité, de l'entraide, de la joie, du respect et de la curiosité.
Et un constat qui s'impose… Nous possédons tout jusqu'à l'outrance et nous nous sentons vides de l'intérieur.
Ils n'ont rien et pourtant ils possèdent tout …
Photographe de passion, j'ai la chance et l'opportunité de pouvoir suivre ma passion depuis plus de 10 ans. J'ai pu avoir l'occasion de présenter mes clichés lors d'évènements tels que le Festival VISA OFF de Perpignan, les Rencontres d'Arles, la Art Basel Miami, la ArtExpo New York, le MAG Montreux et d'exposer un peu partout dans le monde dont à Paris, Londres, Miami, New York, Bruxelles, Shanghai, Pékin, Johannesburg, Vienne, Munich, Moscou, Baku, Montreux, Rabat, Le Caire…
Mes photos ont été distinguées plus de 180 fois en compétitions internationales FIAP / PSA / GPU et en ont remporté quelques unes (MIFA 2014, LICC 2017 notamment).
Je dois à ma rencontre avec Simon Wheatley, photographe à l'Agence Magnum d'avoir une approche humaniste de la photographie, de saisir les instants de bonheur et de fuir le sensationnalisme.
Si je suis arrivé à la photographie par l'architecture, mon travail s'est depuis ouvert ouvert à la photographie humaniste et à la photographie des paysages désertiques que j'affectionne tout particulièrement.
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Qui est l'artiste ?
Quelle notion complexe que le bonheur. Ceux qui ont tout pour l'être sont tristes, ceux qui n'ont rien semblent heureux… Voilà le constat de ce qui allait devenir le fil rouge de ma démarche introspective à travers la photographie rendue possible par de magnifiques rencontres à travers le monde.
Mon aventure débuta à Paris, la ville des lumières, celle qui attire tant de touristes chaque année, pressés de visiter la plus belle ville du monde.
Et pourtant, plus je quittais cette ville et plus, lorsque j'y revenais, je croisais des gens à l'air tristes et malheureux. Premières interrogations, premiers doutes et premières remises en question.
Puis vint la découverte de l'appareil photographique, le temps de mes premiers voyages en Afrique, la confrontation au dénuement parfois total de certains et pourtant … pourtant… Des sourires, de la fraternité, de l'entraide, de la joie, du respect et de la curiosité.
Et un constat qui s'impose… Nous possédons tout jusqu'à l'outrance et nous nous sentons vides de l'intérieur.
Ils n'ont rien et pourtant ils possèdent tout …
Photographe de passion, j'ai la chance et l'opportunité de pouvoir suivre ma passion depuis plus de 10 ans. J'ai pu avoir l'occasion de présenter mes clichés lors d'évènements tels que le Festival VISA OFF de Perpignan, les Rencontres d'Arles, la Art Basel Miami, la ArtExpo New York, le MAG Montreux et d'exposer un peu partout dans le monde dont à Paris, Londres, Miami, New York, Bruxelles, Shanghai, Pékin, Johannesburg, Vienne, Munich, Moscou, Baku, Montreux, Rabat, Le Caire…
Mes photos ont été distinguées plus de 180 fois en compétitions internationales FIAP / PSA / GPU et en ont remporté quelques unes (MIFA 2014, LICC 2017 notamment).
Je dois à ma rencontre avec Simon Wheatley, photographe à l'Agence Magnum d'avoir une approche humaniste de la photographie, de saisir les instants de bonheur et de fuir le sensationnalisme.
Si je suis arrivé à la photographie par l'architecture, mon travail s'est depuis ouvert ouvert à la photographie humaniste et à la photographie des paysages désertiques que j'affectionne tout particulièrement.
Quel est le mouvement artistique de Guilhem Ribart ?
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