Présentation

Jean-Daniel Rousseau ne fait pas métier de la peinture. Il peint cependant depuis de très nombreuses années. C'est une passion ancienne, pérenne, parfois assez envahissante... Sur son site Web il y a plus de mille toiles sur une vingtaine de thèmes. Il a ainsi « stocké » un très grand nombre de toiles qui « dorment », en silence et invisibles. Il aimerait aujourd'hui faire sortir de l'ombre ces travaux.

La peinture n'est pour lui ni un passe-temps ni une thérapie mais un mode d'expression, une forme d'exploration d'un territoire intérieur longtemps en friche, une autre facette de soi, qui permet de se retrouver , de disposer d'un temps propre, le plus souvent dans la recherche de la pureté de la forme...

On dit qu'en sanskrit, les mots ne désignent pas les choses, comme chez nous en Occident. Les mots servent à dire la relation qu'on a à la chose. De ce fait, il existe plus de mille mots pour nommer l'eau, selon l'instant, selon l'état d'esprit, selon l'émotion dans laquelle on se trouve. Ainsi en va-t-il de la peinture pour Jean-Daniel Rousseau. Même si le plus souvent le résultat est figuratif, c'est moins la chose qui est peinte que la relation à cette chose.

Avec le recul, après des milliers de toiles abouties et de travaux de recherche sur papier, un « style » transparait : priorité au linéaire sur le pictural / multiplication des aplats / cohabitation de thèmes parfois contradictoires / logique de la répétition, à la limite parfois du névrotique / monochromes / assemblages de toiles sur un même objet ou sur un même thème/ obsession des séries, tant qu'on n'en a pas épuisé les potentialités / rencontre ad libitum des croisements possibles des thèmes / abus et facilité des symboliques parfois tellement élémentaires qu'elles frisent la caricature…

Cependant, il pense pouvoir affirmer que ce n'est pas le style qui détermine la chose peinte. C'est la manière, la spécificité, l'écriture et la langue qui lui sont propres et dans lesquels elle atteint son expression la plus appropriée.

Une langue qui s'est construite au fil du temps. Elle est faite de simplicité, pour ne pas dire de frugalité. Toutes choses égales par ailleurs, il applique un principe simple : « le rasoir d'Ockam », transposé à la peinture. En langage ordinaire, c'est dire que ce qui est recherché c'est l'économie des moyens par rapport aux résultats produits. En langage encore plus ordinaire : « Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? ».

Bien des thèmes sont développés, ont pris forme et maturité au fil des ans. Certains sont aujourd'hui matures, d'autres encore en cheminement. Il ne sait pourtant pas toujours ce qui le conduit à faire ce qu'il fait. Le sens du projet et de l'aventure n'apparaît parfois qu'au cours de l'action. En avançant. Après coup, il ne peut que constater que c'était ce qu'il se devait de faire.


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Qui est l'artiste ?

Jean-Daniel Rousseau ne fait pas métier de la peinture. Il peint cependant depuis de très nombreuses années. C'est une passion ancienne, pérenne, parfois assez envahissante... Sur son site Web il y a plus de mille toiles sur une vingtaine de thèmes. Il a ainsi « stocké » un très grand nombre de toiles qui « dorment », en silence et invisibles. Il aimerait aujourd'hui faire sortir de l'ombre ces travaux.

La peinture n'est pour lui ni un passe-temps ni une thérapie mais un mode d'expression, une forme d'exploration d'un territoire intérieur longtemps en friche, une autre facette de soi, qui permet de se retrouver , de disposer d'un temps propre, le plus souvent dans la recherche de la pureté de la forme...

On dit qu'en sanskrit, les mots ne désignent pas les choses, comme chez nous en Occident. Les mots servent à dire la relation qu'on a à la chose. De ce fait, il existe plus de mille mots pour nommer l'eau, selon l'instant, selon l'état d'esprit, selon l'émotion dans laquelle on se trouve. Ainsi en va-t-il de la peinture pour Jean-Daniel Rousseau. Même si le plus souvent le résultat est figuratif, c'est moins la chose qui est peinte que la relation à cette chose.

Avec le recul, après des milliers de toiles abouties et de travaux de recherche sur papier, un « style » transparait : priorité au linéaire sur le pictural / multiplication des aplats / cohabitation de thèmes parfois contradictoires / logique de la répétition, à la limite parfois du névrotique / monochromes / assemblages de toiles sur un même objet ou sur un même thème/ obsession des séries, tant qu'on n'en a pas épuisé les potentialités / rencontre ad libitum des croisements possibles des thèmes / abus et facilité des symboliques parfois tellement élémentaires qu'elles frisent la caricature…

Cependant, il pense pouvoir affirmer que ce n'est pas le style qui détermine la chose peinte. C'est la manière, la spécificité, l'écriture et la langue qui lui sont propres et dans lesquels elle atteint son expression la plus appropriée.

Une langue qui s'est construite au fil du temps. Elle est faite de simplicité, pour ne pas dire de frugalité. Toutes choses égales par ailleurs, il applique un principe simple : « le rasoir d'Ockam », transposé à la peinture. En langage ordinaire, c'est dire que ce qui est recherché c'est l'économie des moyens par rapport aux résultats produits. En langage encore plus ordinaire : « Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? ».

Bien des thèmes sont développés, ont pris forme et maturité au fil des ans. Certains sont aujourd'hui matures, d'autres encore en cheminement. Il ne sait pourtant pas toujours ce qui le conduit à faire ce qu'il fait. Le sens du projet et de l'aventure n'apparaît parfois qu'au cours de l'action. En avançant. Après coup, il ne peut que constater que c'était ce qu'il se devait de faire.

Quand est né(e) Jean-Daniel Rousseau ?

L'année de naissance de l'artiste est : 1947