Présentation
Emila Sirakova est née à Sofia (Bulgarie) en 1984. Elle vit et travaille à Milan.
Elle fut diplômée en 2008 de l’Académie des Beaux arts de Brera (Milan).
Montrer l’art est « cosa mentale » est le credo des œuvres d’Emila Sirakova ; elle dont le trait dissèque les sentiments à travers l’expression puissante des muscles, des postures et des interactions entre les corps. Les scènes s’apparentent à des ballets érotiques où les êtres qui se frôlent, se touchent ou s’entremêlent ne sont que les facettes d’une même personne. (L’artiste construit d’ailleurs son œuvre avec différentes cartes ou papiers).
Tout indique que nous sommes dans un monde psychique. Par instant le trait solide, apte à explorer chaque pli, s’estompe jusqu’à l’absence ou alors fait jaillir des masques à la portée mythologique. Le corps physique, ce « visible que travaille l’invisible » si cher à Michelangelo, se déplace dans l’univers des fluides, air ou eau, comme en témoignent la grâce des mouvements et des gestes ; sensation confirmée par l’emploi de la peinture en tachisme, coulures et nuagisme.
Alliant renaissance italienne et philosophie orientale, l’œuvre d’Emila Sirakova symbolise l’au-delà de la conscience, là où, contrairement à la vie matérielle, les forces antagonistes dansent.
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Elle fut diplômée en 2008 de l’Académie des Beaux arts de Brera (Milan).
Montrer l’art est « cosa mentale » est le credo des œuvres d’Emila Sirakova ; elle dont le trait dissèque les sentiments à travers l’expression puissante des muscles, des postures et des interactions entre les corps. Les scènes s’apparentent à des ballets érotiques où les êtres qui se frôlent, se touchent ou s’entremêlent ne sont que les facettes d’une même personne. (L’artiste construit d’ailleurs son œuvre avec différentes cartes ou papiers).
Tout indique que nous sommes dans un monde psychique. Par instant le trait solide, apte à explorer chaque pli, s’estompe jusqu’à l’absence ou alors fait jaillir des masques à la portée mythologique. Le corps physique, ce « visible que travaille l’invisible » si cher à Michelangelo, se déplace dans l’univers des fluides, air ou eau, comme en témoignent la grâce des mouvements et des gestes ; sensation confirmée par l’emploi de la peinture en tachisme, coulures et nuagisme.
Alliant renaissance italienne et philosophie orientale, l’œuvre d’Emila Sirakova symbolise l’au-delà de la conscience, là où, contrairement à la vie matérielle, les forces antagonistes dansent.
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Quand est né(e) Emila Sirakova ?
L'année de naissance de l'artiste est : 1984