Andrius Zakarauskas (né en 1982) a étudié la peinture à l'Académie des Beaux-Arts de Vilnius. Depuis 2004, il participe aux expositions de groupe en Europe et aux États-Unis, ses œuvres sont présentées dans des galeries prestigieuses et dans les foires d'art contemporain. Depuis 2005, il organise des expositions individuelles en Lituanie et à l'étranger. En 2009, il a remporté "Le prix du jeune peintre".
En 2011, A. Zakarauskas a reçu le Prix du jeune créateur instauré par le Ministère de la Culture de la République de Lituanie. Certaines œuvres du peintre ont été acquises par la Fondation Lewben, le Centre d'Art Moderne de Vilnius et des collectionneurs privés. Les travaux de l'artiste sont présentés au centre d'information de la Galerie Nationale des Beaux-Arts.
Bien que les œuvres d'A. Zakarauskas contiennent des éléments de plusieurs domaines des beaux-arts, ses tableaux sont souvent sans sujet, proches de l'abstraction. Plusieurs compositions répètent la même figure de l'homme sans visage dont l'apparence et l'habillement révèlent que c'est l'image du peintre lui-même. Ces clones visuels d'A. Zakarauskas sont tirés, déformés, divisés en parties, disposés rythmiquement, intégrés dans un filet et deviennent un élément, une tache, un coup de pinceau non seulement du récit de l'œuvre, mais aussi de sa structure plastique.
En intégrant son image dans la structure du tableau, le peintre s'identifie presque avec la peinture. Aussi, les autoportraits servent à la recherche et à la conceptualisation de la peinture À travers ce genre, A. Zakarauskas analyse les rapports entre la peinture et le peintre. Il devient lui-même le créateur, l'observateur et l'objet de l'œuvre. Une telle approche narcissique par rapport à la peinture pose des questions sur le statut du créateur et de la place de la peinture dans le monde de l'art. Elle provoque en abordant le sujet du culte de l'artiste.
A. Zakarauskas discute constamment avec l'histoire de la peinture. Il questionne les mythes consolidés concernant la création artistique. Il analyse également les possibilités d'utiliser la peinture en tant que moyen d'expression. Il accorde beaucoup d'attention à la superficie, à l'expression et au caractère du tableau peint.
Mis à part le contexte culturel large, les tableaux d'A. Zakarauskas sont assez intimes et pleins d'autoréflexion. Le peintre ne fait pas que se référer au discours théorique, sa peinture révèle également sont point de vue individuel et traduit son humeur.
L'harmonie dominante des nuances grisâtres et noirâtres prédispose à la songerie, la mélancolie. La ligne des rapports entre l'homme et la femme qui complète parfois le sujet principal injecte du lyrisme. Ces détails personnels sont employés de manière très économe, en tant qu'allusions. Pourtant, les pulsions émotionnelles rendent l'œuvre d'A. Zakarauskas plus parfaite et personnalisent ses sujets.
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Qui est l'artiste ?
Andrius Zakarauskas (né en 1982) a étudié la peinture à l'Académie des Beaux-Arts de Vilnius. Depuis 2004, il participe aux expositions de groupe en Europe et aux États-Unis, ses œuvres sont présentées dans des galeries prestigieuses et dans les foires d'art contemporain. Depuis 2005, il organise des expositions individuelles en Lituanie et à l'étranger. En 2009, il a remporté "Le prix du jeune peintre". En 2011, A. Zakarauskas a reçu le Prix du jeune créateur instauré par le Ministère de la Culture de la République de Lituanie. Certaines œuvres du peintre ont été acquises par la Fondation Lewben, le Centre d'Art Moderne de Vilnius et des collectionneurs privés. Les travaux de l'artiste sont présentés au centre d'information de la Galerie Nationale des Beaux-Arts. Bien que les œuvres d'A. Zakarauskas contiennent des éléments de plusieurs domaines des beaux-arts, ses tableaux sont souvent sans sujet, proches de l'abstraction. Plusieurs compositions répètent la même figure de l'homme sans visage dont l'apparence et l'habillement révèlent que c'est l'image du peintre lui-même. Ces clones visuels d'A. Zakarauskas sont tirés, déformés, divisés en parties, disposés rythmiquement, intégrés dans un filet et deviennent un élément, une tache, un coup de pinceau non seulement du récit de l'œuvre, mais aussi de sa structure plastique. En intégrant son image dans la structure du tableau, le peintre s'identifie presque avec la peinture. Aussi, les autoportraits servent à la recherche et à la conceptualisation de la peinture À travers ce genre, A. Zakarauskas analyse les rapports entre la peinture et le peintre. Il devient lui-même le créateur, l'observateur et l'objet de l'œuvre. Une telle approche narcissique par rapport à la peinture pose des questions sur le statut du créateur et de la place de la peinture dans le monde de l'art. Elle provoque en abordant le sujet du culte de l'artiste. A. Zakarauskas discute constamment avec l'histoire de la peinture. Il questionne les mythes consolidés concernant la création artistique. Il analyse également les possibilités d'utiliser la peinture en tant que moyen d'expression. Il accorde beaucoup d'attention à la superficie, à l'expression et au caractère du tableau peint. Mis à part le contexte culturel large, les tableaux d'A. Zakarauskas sont assez intimes et pleins d'autoréflexion. Le peintre ne fait pas que se référer au discours théorique, sa peinture révèle également sont point de vue individuel et traduit son humeur. L'harmonie dominante des nuances grisâtres et noirâtres prédispose à la songerie, la mélancolie. La ligne des rapports entre l'homme et la femme qui complète parfois le sujet principal injecte du lyrisme. Ces détails personnels sont employés de manière très économe, en tant qu'allusions. Pourtant, les pulsions émotionnelles rendent l'œuvre d'A. Zakarauskas plus parfaite et personnalisent ses sujets.
Quelles sont ses 3 principales œuvres ?
Quand est né(e) Andrius Zakarauskas ?
L'année de naissance de l'artiste est : 1982