Self-portrait 1960 AGADIR Autoportrait, 1967

par Mohammed Khaïr-Eddine

Peinture : techniques mixtes 14 x 21 cm 5.5 x 8.3 inch

1 900 €
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Facture de la galerie


Technique

Peinture: techniques mixtes

Dimensions cm inch

14 x 21 cm 5.5 x 8.3 inch Hauteur x Largeur x Profondeur

Encadrement

Cadre avec vitre en verre en bois doré

Dimension de l'œuvre encadrée

18 x 25 cm 7.1 x 9.8 inch


Tags

Portrait

Art brut

Semi-abstrait

Tête

Œuvre vendue en parfait état

Localisation de l’œuvre: France

Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995) est un dessinateur, plus connu comme le Grand Ecrivain Berbère de la littérature francophone. Dans son livre « L’Art de L’Ecole de Paris d’Après-Guerre (1945-1999) » Lise Cormery, Michelangelo Publications, Paris, 2020, écrit sa biographie. "Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995) est né dans une famille Berbère à Tafraout, au sud du Maroc près d'Agadir. Son œuvre est empreinte du souvenir de la civilisation berbère qu'il doit quitter pour sa scolarisation à Casablanca, qui l'oblige à quitter sa mère et le Sud, dont il aura à jamais la nostalgie. Il dit : "j'ai commencé à écrire en classe de 5ème, des professeurs m'encourageaient, je publiais dans le quotidien "La Vigie marocaine", j'ai écrit des tragédies que mon père a vendues à des marchands de cacahuètes qui en ont fait des cornets."
En 1961 il est chargé par la Sécurité sociale du Maroc d'enquêter auprès de la population victime du séisme de 1960 qui détruit Agadir, aussi la ville actuelle est reconstruite deux kilomètres plus au sud et Khair-Eddine, fonctionnaire, y vit jusqu’en 1963, tout en dessinant et en écrivant dans l'espoir du succès.
De 1963 à 1965, il vit à Casablanca et fonde, avec Mostafa Nissaboury, le Mouvement "Poésie Toute" qui engage les poètes dans une "guérilla linguistique", pacifique mais pérenne. Il écrit en 1964, "L'Enterrement", nouvelle parue dans "Preuves" qui obtiendra le prix de la Nouvelle Maghrébine et "Nausée noire" publié dans Siècles à Mains, à Londres la même année. Il fréquente le groupe de la revue "Souffles" dont B. Jakobiak et A. Laâbi, avec Abdellatif Laâbi, qui luttent pour l'expression poétique et littéraire maghrébine de la rupture et fait partie du "Cercle des Amitiés littéraires et artistiques de Casablanca".
En 1965, toujours dans une quête éperdue de liberté intérieure et extérieure, il quitte le Maroc pour s'installer en France, quitte à y survivre en devenant un simple ouvrier au bas de l'échelle sociale dans des usines de banlieue parisienne, tout en publiant ses textes et des dessins ou quelques encres dans les revues politiques, littéraires et philosophiques majeures françaises. Dès 1966, il publie dans "Lettres nouvelles", "Présence africaine", "Les Temps modernes" et reçoit "Le Prix Encres Vives" pour "Faune détériorée".
En 1967, il passe enfin de l'ombre à la lumière, par la révélation de son roman "Agadir" publié par Le Seuil, unanimement salué par "Le Monde", et la presse en France, il reçoit le prix "Enfants terribles" fondé par Cocteau, car son œuvre s'inscrit dans ce champ de l'inclassable et de la contestation à l'infini.
"Agadir", parabole philosophique et politique, hymne à la liberté et à l'amour, évoque la nuit du 29 février 1960 où un séisme détruit Agadir, ville au sud du Maroc. Fonctionnaire mandaté par le pouvoir royal Khaïr-Eddine y constate son impuissance à rétablir ce qui était déjà "une situation précaire" car "Il n'y a plus le moindre soupçon de ville ici". Il ne rencontre que le silence et la résignation, la ville se confond avec les sables. Les soldats ont nivelé la catastrophe désormais à oublier. Il se souvient de cette ville debout, avec ses taudis, ses palais roses et le "trou fangeux où il est né". Il écrit contre cet entassement disparate où les "socialistes" habitent des palais, il s'invente une vision à la Swift d'une cité démocratique.
Dans ce "zoo" Rabat ou Marrakech, le pouvoir est entre les griffes des "maîtres-perroquets" et des "vautours-à-dents". Les "aigles" qui prêchaient la liberté sont désormais mis en cage. Mais comment bâtir une nouvelle ville sur du vide ? Au-delà des siècles d'oppression arabe, la révolte de Kahma La Berbère, qui meurt au combat en l'an 703 dans les Aurès, après sa magnifique unification du Maghreb, fait écho à la liberté des temps passés. Si certains exaltent en elle la résistante aux envahisseurs arabo-musulmans, pour Khaïr-Eddine, elle symbolise la révolte, l'opposition à l'ordre établi des nantis repus et arrogants.
Sur la vague de mai 1968 où les fils de grands bourgeois s'amusent à se faire peur et se taillent la part du lion, il rencontre Malraux, Sartre, Beckett, Senghor, Césaire, publie beaucoup et anime pour France-Culture des émissions radiophoniques nocturnes. En 1968 il écrit dans un esprit de révolte absolu : "Corps négatif", "Histoire d'un Bon Dieu". Il marque un moment de paix intérieure, avec la naissance de son fils Alexandre, s'installe dans le sud de la France et se marie avec "Annigator", qu'il nomme ainsi dans ses poèmes "Soleil Arachnide" publiés en 1969.
Il écrit "Moi, l'aigre" 1970, "Le Déterreur" 1973, "Une odeur de mantèque" 1976, "Une vie, un rêve, un peuple, toujours errants" 1978, "Ce Maroc ! " en 1975, tous animés d'un esprit de révolte absolue, murmurant la douleur d'un être à vif. Il retourne bien vite à son ivresse poétique parisienne et sa vie d'errance délicieuse. Quand son ami Senghor l'encourage au retour au Maroc, ce qu'il fait en 1980, il écrit "Résurrection des fleurs sauvages" en 1981 et en 1984, "Légende et vie d'Agou'chich" en hommage à un bandit d'honneur de la tradition orale, suivi de recueils de poésie dont "Mémorial", publié aux éditions du Cherche midi en 1991. Pour survivre il écrit dans les journaux marocains d'obédience française : "Le Message", "Le Libéral", "L'Opinion".
En 1989, il revient à Paris où il renoue avec le théâtre, ébauche "Les Cerbères" puis il retourne au Maroc en 1993 où il meurt à Rabat en 1995.
Philippe Ronce, réalisateur de films sur "Arte", ami de Khair Eddine et de Gilles Cormery, écrit dans le Catalogue Raisonné de l'œuvre peint de Gilles Cormery "Mohamed Khair Eddine, mon ami et ami de Gilles Cormery était tout comme lui, poète, écrivain et dessinateur. Tout comme lui, il était dans l'errance et toujours "animé d'un esprit de révolte absolue, disant la douleur d'un être écorché, qui ne s'apaise que lorsque s'élève le chant d'amour ", mais "le chant d'amour" pour tous ! « En 2002, son oeuvre, interdite aux Maroc de son vivant, commence à être rééditée. » Quelques œuvres de Khair Eddine, demeurent chez des collectionneurs amateurs de beaux livres et d’art à Paris, en France et dans des collections internationales. » Lise Cormery
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GALERIE LISE CORMERY • France

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Mohammed Khaïr-Eddine, Self-portrait 1960 AGADIR Autoportrait
Mohammed Khaïr-Eddine

Mohammed Khaïr-Eddine

Maroc  • 1941

Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995) est un dessinateur, plus connu comme le Grand Ecrivain Berbère de la littérature francophone. Dans son livre "L'art de l'Ecole de Paris d'Après-Guerre" Lise Cormery écrit sa biographie. "Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995) est né dans une famille Berbère à Tafraout, au sud du Maroc près d'Agadir. Son œuvre est empreinte du souvenir de la civilisation berbère qu'il doit quitter pour sa scolarisation à Casablanca, qui l'oblige à quitter sa mère et le Sud, dont il aura à jamais la nostalgie. Il dit : "j'ai commencé à écrire en classe de 5ème, des professeurs m'encourageaient, je publiais dans le quotidien "La Vigie marocaine", j'ai écrit des tragédies que mon père a vendues à des marchands de cacahuètes qui en ont fait des cornets." 

En 1961 il est chargé par la Sécurité sociale du Maroc d'enquêter auprès de la population victime du séisme de 1960 qui détruit Agadir, aussi la ville actuelle est reconstruite deux kilomètres plus au sud et Khair-Eddine, fonctionnaire, y vit jusqu'en 1963, tout en dessinant et en écrivant dans l'espoir du succès. 

De 1963 à 1965, il vit à Casablanca et fonde, avec Mostafa Nissaboury, le Mouvement "Poésie Toute" qui engage les poètes dans une "guérilla linguistique", pacifique mais pérenne. Il écrit en 1964, "L'Enterrement", nouvelle parue dans "Preuves" qui obtiendra le prix de la Nouvelle Maghrébine et "Nausée noire" publié dans Siècles à Mains, à Londres la même année. Il fréquente le groupe de la revue "Souffles" dont B. Jakobiak et A. Laâbi, avec Abdellatif Laâbi, qui luttent pour l'expression poétique et littéraire maghrébine de la rupture et fait partie du "Cercle des Amitiés littéraires et artistiques de Casablanca". 

En 1965, toujours dans une quête éperdue de liberté intérieure et extérieure, il quitte le Maroc pour s'installer en France, quitte à y survivre en devenant un simple ouvrier au bas de l'échelle sociale dans des usines de banlieue parisienne, tout en publiant ses textes et des dessins ou quelques encres dans les revues politiques, littéraires et philosophiques majeures françaises. Dès 1966, il publie dans "Lettres nouvelles", "Présence africaine", "Les Temps modernes" et reçoit "Le Prix Encres Vives" pour "Faune détériorée".

En 1967, il passe enfin de l'ombre à la lumière, par la révélation de son roman "Agadir" publié par Le Seuil, unanimement salué par "Le Monde", et la presse en France, il reçoit le prix "Enfants terribles" fondé par Cocteau, car son œuvre s'inscrit dans ce champ de l'inclassable et de la contestation à l'infini.

"Agadir", parabole philosophique et politique, hymne à la liberté et à l'amour, évoque la nuit du 29 février 1960 où un séisme détruit Agadir, ville au sud du Maroc. Fonctionnaire mandaté par le pouvoir royal Khaïr-Eddine y constate son impuissance à rétablir ce qui était déjà "une situation précaire" car "Il n'y a plus le moindre soupçon de ville ici". Il ne rencontre que le silence et la résignation, la ville se confond avec les sables. Les soldats ont nivelé la catastrophe désormais à oublier. Il se souvient de cette ville debout, avec ses taudis, ses palais roses et le "trou fangeux où il est né". Il écrit contre cet entassement disparate où les "socialistes" habitent des palais, il s'invente une vision à la Swift d'une cité démocratique. 

Dans ce "zoo" Rabat ou Marrakech, le pouvoir est entre les griffes des "maîtres-perroquets" et des "vautours-à-dents". Les "aigles" qui prêchaient la liberté sont désormais mis en cage. Mais comment bâtir une nouvelle ville sur du vide ? Au-delà des siècles d'oppression arabe, la révolte de Kahma La Berbère, qui meurt au combat en l'an 703 dans les Aurès, après sa magnifique unification du Maghreb, fait écho à la liberté des temps passés. Si certains exaltent en elle la résistante aux envahisseurs arabo-musulmans, pour Khaïr-Eddine, elle symbolise la révolte, l'opposition à l'ordre établi des nantis repus et arrogants.  

Sur la vague de mai 1968 où les fils de grands bourgeois s'amusent à se faire peur et se taillent la part du lion, il rencontre Malraux, Sartre, Beckett, Senghor, Césaire, publie beaucoup et anime pour France-Culture des émissions radiophoniques nocturnes. En 1968 il écrit dans un esprit de révolte absolu : "Corps négatif", "Histoire d'un Bon Dieu". Il marque un moment de paix intérieure, avec la naissance de son fils Alexandre, s'installe dans le sud de la France et se marie avec "Annigator", qu'il nomme ainsi dans ses poèmes "Soleil Arachnide" publiés en 1969.

Il écrit "Moi, l'aigre" 1970, "Le Déterreur" 1973, "Une odeur de mantèque" 1976, "Une vie, un rêve, un peuple, toujours errants" 1978, "Ce Maroc ! " en 1975, tous animés d'un esprit de révolte absolue, murmurant la douleur d'un être à vif. Il retourne bien vite à son ivresse poétique parisienne et sa vie d'errance délicieuse. Quand son ami Senghor l'encourage au retour au Maroc, ce qu'il fait en 1980, il écrit "Résurrection des fleurs sauvages" en 1981 et en 1984, "Légende et vie d'Agou'chich" en hommage à un bandit d'honneur de la tradition orale, suivi de recueils de poésie dont "Mémorial", publié aux éditions du Cherche midi en 1991. Pour survivre il écrit dans les journaux marocains d'obédience française : "Le Message", "Le Libéral", "L'Opinion".

En 1989, il revient à Paris où il renoue avec le théâtre, ébauche "Les Cerbères" puis il retourne au Maroc en 1993 où il meurt à Rabat en 1995.

Philippe Ronce, réalisateur de films sur "Arte", ami de Khair Eddine et de Gilles Cormery, écrit dans le Catalogue Raisonné de l'œuvre peint de Gilles Cormery "Mohamed Khair Eddine, mon ami et ami de Gilles Cormery était tout comme lui, poète, écrivain et dessinateur. Tout comme lui, il était dans l'errance et toujours "animé d'un esprit de révolte absolue, disant la douleur d'un être écorché, qui ne s'apaise que lorsque s'élève le chant d'amour ", mais "le chant d'amour" pour tous ! "

En 2002, son oeuvre, interdite aux Maroc de son vivant, est rééditée."


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