
Galerie BAYART
Héros. Partie I
Du 6 juin 2019 au 20 juillet 2019
Pologne • 1944 - 2014
Igor Mitoraj, sculpteur d'origine polonaise (1944-2014), a partagé sa vie entre Paris et Pietrasanta, en Italie, dès la fin des années 60.
Son œuvre a fait l'objet de nombreuses expositions (France, Espagne, Allemagne, Italie, Etats-Unis…).
En 1981, il réalise sa première sculpture monumentale Grand Toscano aujourd'hui à la Défense.
Depuis 1995, sa sculpture monumentale Thshuki-No-Ikari achetée par le British Museum, se trouve présentée devant la colonnade du célèbre Musée.
A Paris - la Défense, on peut admirer depuis 1997 la monumentale tête Tindaro devant la tour KPMG, et depuis 2000, on peut admirer trois nouvelles sculptures Ikaria (Tour Adria), Ikaro (Tour Ernst & Young) et Centurion (Tour Fiat).
Depuis juin 2004, se dresse sur la place Saint Eloi à Angers, devant le nouveau Musée des Beaux Arts, Per Adriano, sculpture en bronze, acquise par la ville.
Claudio Malberti dans Igor Mitoraj, Milan, 1986, nous parle en ces termes de l'œuvre de Igor Mitoraj : « Sa sculpture fixe l'attention exclusivement sur la figure humaine. Aucun autre intérêt, aucune autre digression.
Aucune concession aux artifices cérébraux, mais une sculpture essentielle, d'instinct, presqu'une nécessité expressive.
Dans les sculptures complètes (en général des têtes), on admire la grâce virile du modelé (qui n'est pas une contradiction) et surtout les patines insolites et chargées d'une sensualité modérée mais palpitante.
Dans les sculptures tronquées ou déchirées, au contraire, prévaut une dimension dramatique et dynamique. Ces déchirures dans les torses et dans les têtes, sont comme de grandes blessures béantes, qui sont là pour témoigner toute la fragilité et toute la précarité de l'existence humaine ».
Qui est l'artiste ?
Igor Mitoraj, sculpteur d'origine polonaise (1944-2014), a partagé sa vie entre Paris et Pietrasanta, en Italie, dès la fin des années 60.
Son œuvre a fait l'objet de nombreuses expositions (France, Espagne, Allemagne, Italie, Etats-Unis…).
En 1981, il réalise sa première sculpture monumentale Grand Toscano aujourd'hui à la Défense.
Depuis 1995, sa sculpture monumentale Thshuki-No-Ikari achetée par le British Museum, se trouve présentée devant la colonnade du célèbre Musée.
A Paris - la Défense, on peut admirer depuis 1997 la monumentale tête Tindaro devant la tour KPMG, et depuis 2000, on peut admirer trois nouvelles sculptures Ikaria (Tour Adria), Ikaro (Tour Ernst & Young) et Centurion (Tour Fiat).
Depuis juin 2004, se dresse sur la place Saint Eloi à Angers, devant le nouveau Musée des Beaux Arts, Per Adriano, sculpture en bronze, acquise par la ville.
Claudio Malberti dans Igor Mitoraj, Milan, 1986, nous parle en ces termes de l'œuvre de Igor Mitoraj : « Sa sculpture fixe l'attention exclusivement sur la figure humaine. Aucun autre intérêt, aucune autre digression.
Aucune concession aux artifices cérébraux, mais une sculpture essentielle, d'instinct, presqu'une nécessité expressive.
Dans les sculptures complètes (en général des têtes), on admire la grâce virile du modelé (qui n'est pas une contradiction) et surtout les patines insolites et chargées d'une sensualité modérée mais palpitante.
Dans les sculptures tronquées ou déchirées, au contraire, prévaut une dimension dramatique et dynamique. Ces déchirures dans les torses et dans les têtes, sont comme de grandes blessures béantes, qui sont là pour témoigner toute la fragilité et toute la précarité de l'existence humaine ».
Quelles sont ses 3 principales œuvres ?
Quel est le mouvement artistique de Igor Mitoraj ?
Quand est né(e) Igor Mitoraj ?