Co-fondateur en octobre 2011 du collectif Street-Art Shooteurs, avec lequel il développe sa propre vision du monde urbain, de la culture alternative, en immortalisant des artistes, principalement graffeurs dans leurs terrains de jeux, tels que les friches industrielles et autres lieux abandonnés dits "urbex". Il affectionne aussi la rue et l’imprévu des rencontres. Il y capture les moments éphémères et bruts.
Stéphane Thévenon, travaille aussi la scénographie, mais là encore, la spontanéité et les surprises des séances telles que les moments dits de "back-stage" tiennent une grande place dans son travail. Il cherche avant tout à capter et retranscrire l’énergie de l’instant.
Avec l’utilisation du "fish eye", il immerge le spectateur dans l’environnement du sujet "shooter". Ainsi, la photographie semble se mettre en mouvement, comme dans un vidéos clips, médium dont il est friand. Cette influence est perceptible dans certaines scénographies où notre imaginaire peut re-construire l’histoire de la séance photo.