Coffret Lines - Tiré à part # 1 (Une palissade en métal - Florence, Italie), 1976
Jörg Krichbaum

Photographie : tirage argentique

42 x 60 x 1 cm 16.5 x 23.6 x 0.4 inch

1 750 €

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À propos de l'œuvre

Tirage

Œuvre numérotée et limitée à 5 exemplaires

5 exemplaires disponibles

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Dimensions cm inch

42 x 60 x 1 cm 16.5 x 23.6 x 0.4 inch Hauteur x Largeur x Profondeur

Encadrement

Non encadrée


Œuvre vendue en parfait état

Localisation de l’œuvre: Belgique

Tiré à part n° 1 du portfolio Lines (Coffret Prestige n°6 sur Artsper)
Cette image a été capturée sur film (1976) Le négatif sélectionné a été imprimé sur du papier Baryté par l'auteur, ce tirage est une reproduction numérique réalisée sur du papier d'art Photo Rag Baryté 310 gsm pour une résistance au vieillissement maximale à l'aide d'encres pigmentées qui sont connues pour leur longévité.

Une palissade en métal : "Florence 1976". Un échafaudage métallique sur un mur blanc strié de bandes noires : "Orvieto 1974". Bien malin celui qui y aura reconnu l’un des murs latéraux du sublime Duomo de cette ville. Avons-nous vraiment besoin de savoir d’où viennent ces jeux de lignes pour ressentir ce qu’elles provoquent en nous ?
De gauche à droite et de haut en bas :
Montecatini 1984, Florence 1976, Wien 1972, Unknown 1980, Pescara 1976, Roma 1975, Orvieto 1974.

Une sélection exceptionnelle de photos de Jörg Krichbaum qui disent totalement l’Italie sans jamais la montrer. Une contribution étonnante dans l’Histoire de l’art et de la photographie.

« Kennst du das Land, wo die Zitronen blühn ? »
(Connaissez-vous la terre où fleurissent les citrons ?).

Par François Bayle, Curateur.

Kennst du… Question posée par Johann Wolfgang von Goethe à l’issue d’un interminable périple dans la péninsule italienne, (de septembre 1786 à juin 1788), qui l’amena à visiter, entre autres, Vérone, Vicence, Padoue, Venise, Ferrare, Bologne, Pérouse, Spoleto, Rome, Naples et la Sicile. Un road trip que même le Giro n’aurait pas osé, et que les Français nommèrent longtemps « le Grand Tour ». Partout, dans chacune de ces villes, dans chaque village, la trace de l’Histoire, la marque de l’Art, le souffle du génie humain, qui forcent les visiteurs à se situer, à se mesurer, à se définir face à ce meilleur, laissé par nos prédécesseurs. En Allemagne, l’approche poétique de Goethe a donné le jour à un courant appelé « Innerlichkeit », (introversion), car c’est bien à cela que nous contraignent les splendeurs italiennes.

Bon, maintenant sans contester en rien l’immense génie de Goethe, peut-on seulement souligner une certaine facilité dans l’idée que le visiteur confronté en quelques jours aux palais de Venise, à la Basilique Saint Pierre de Rome, aux Villas Palladiennes, aux Offices de Florence ou aux temples d’Agrigente ait un peu de mal à sortir indemne de la découverte de ces chefs-d’œuvre ? Chateaubriand, quelques années plus tard dans « Le Génie du Christianisme », ira même un cran plus haut en affirmant l’origine divine de l’art (en particulier italien) grâce à la religion chrétienne, attribuant à Dieu le génie de Michel-Ange ou de Raphaël. Alors évidemment, si découvrir, toucher le beau, l’hyper-beau, c’est comme parler à Dieu, il est normal que tout un chacun en soit un peu chamboulé et se livre à une forme urgente d’introspection !

Déjà de leur vivant, Goethe et Chateaubriand, dans leurs écrits sur l’Italie et ses trésors d’art reçurent quelques critiques et moqueries de ces esprits laïcs ou cartésiens, emplis des idées révolutionnaires du moment, et dubitatifs quant à la dimension surhumaine de l’esthétique parfaite. Il était donc permis de penser autrement.

Deux siècles s’écoulèrent. Vint un Allemand, encore un, qui lui aussi prit le chemin de l’Italie. Le photographe Jörg Krichbaum. Dans les années 1970-90, il y fit au moins 12 voyages.

Respecté, admiré et honoré de nombreuses expositions et récompenses professionnelles, il était aussi un homme de plume, journaliste, éditeur, écrivain, romancier, dramaturge, un homme à l'existence foisonnante qui deviendra pourtant par ses photos « le pape » du minimalisme, l'expert de l'épure, le narrateur de l'absence, le continuateur parfait de la « Nouvelle Objectivité ».
Féru d'architecture, passionné de design, il donna à voir le plus petit détail, - comme une poignée de porte, le rebord d'une marche, l'armature métallique d'une tente sans toile -, non parce qu'il est élément parlant d'une construction remarquable, mais parce qu'il témoigne d'une vie intrinsèque, la sienne, de tant d'autres aussi, celles de ses utilisateurs absents car passés par là autrefois mais jamais saisis par l'objectif du photographe, et de toutes les vies que l'on pourrait imaginer puisque tels sont le destin et la liberté des spectateurs, des voyeurs, que nous sommes.

Nous avons choisi de présenter ici quinze photos réalisées par Kirchbaum en Italie : à Rome, bien sûr, mais aussi à Orvieto, Montecatini, Pescara, Florence, Anagni, Rimini et Terracina. Un périple qui, comme celui de Goethe, souligne les diagonales multiples, presque erratiques, de l’artiste dans la péninsule.
Sur ces quinze photos, deux seulement révèlent un peu l’Italie ; l’une parce qu’on y distingue, dans un coin, un tout petit bout du Colisée, l’autre parce qu’elle montre l’entrée déserte d’un établissement de bains de mer. Mais à part elles deux, aucune, absolument aucune ne trahit sa provenance. Pourtant, c’est là qu’opère le talent de l’artiste, regardées toutes ensemble, elles disent, hurlent même, qu’elles ne peuvent être rien d’autre que les pièces d’un puzzle qui se nomme « Italie ».

Ce que Krichbaum est parvenu à faire, c’est de styliser à l’extrême notre perception mentale de l’Italie, pour qu’un bout de marbre, un entrelacs d’échafaudages baroques, un buste d’empereur sur une console, évoquent l’Histoire et l’art de ce pays aussi fortement qu’une carte postale du Vésuve ou une gravure du Canal Grande.
Tout comme la vue d’une coquille Saint Jacques redessinée par le designer Raymond Loewy nous dit que nous sommes chez Shell et que nous y trouverons de l’essence, les photos de Krichbaum nous portent en Italie sans besoin de verser dans le style convenu des « photographies de voyage ».

Et nous revenons donc à l’introversion, (Innerlichkeit), chère à Wolfgang von Goethe, mais cette fois chargée d’une dimension encore plus interpellante : point n’est besoin de nous montrer l’entièreté du Panthéon de Rome ou de la Tour de Pise, un petit bout suffit, un détail, pas plus gros qu’un émoji, pour que notre cerveau, conditionné par notre monde fou d’images, reconstitue l’ensemble, le tout, et sa cohorte de signifiants ou de sentiments. Bref, voici venu le règne du pictogramme, dont la définition du dictionnaire est sans appel : en un seul coup d’œil, vous devez comprendre à quoi il sert et où il vous mène.

Quand l’artiste nous force à réfléchir à ce que nous sommes, ce que nous sommes devenus. Certains diront que nous ne valons pas mieux que le chien de Pavlov. D’autres au contraire, y verront la preuve de notre évolution mentale vers des perceptions immédiates qui facilitent l’interaction entre individus, au-delà des langues, par les signes. Chacun est libre de son « introversion ». Mais prenons un pari : il faudra attendre encore quelques années, dix au moins ou un peu plus, pour que Jörg Krichbaum, décédé prématurément en 2002, soit « redécouvert », que son modernisme et son apport à l’art photographique soient considérés à leur juste valeur, tant son message peut encore déranger nos croyances, notre perception de nous-mêmes. En attendant, pour les amateurs, les esprits curieux, les « initiés », bon voyage en Italie sur les traces de Jörg. Et relisons Goethe…


Le photographe allemand Jörg Krichbaum est de toute évidence l’un des « grands » de sa génération. Il est apprécié non seulement dans son pays mais aussi en Italie, en Belgique ou en France. Son œuvre, son discours artistique, ne se laissent pas attraper au premier regard, car ils ne se perçoivent pas en un seul cliché, mais lorsqu’ils sont présentés en ensembles devenus cohérents malgré leurs disparités. C’est ce qui amena l’artiste à accepter le plus grand nombre possible d’expositions.

A la suite de son décès en 2002, ses ayant-droits choisissent de préserver, de protéger cette archive photographique, mais ne lui donnent pas la visibilité qu’elle mérite. C’est en 2016 seulement qu’un travail d’inventaire et d’analyse est entamé à Bruxelles, lorsque ces archives sont confiées à Brussels Art Edition. Aujourd’hui, les responsables du Fonds Krichbaum sont décidés à transférer à bref délai cette archive à un organisme culturel européen (musée, bibliothèque spécialisée, etc.) afin d’en assurer la conservation définitive et la présentation au public.

Avant ce transfert, le curateur et les ayant-droits ont choisi de donner l’occasion aux grands amateurs et collectionneurs d’acquérir des "portfolios" thématiques, tous constitués de tirages argentiques originaux, d’une qualité exceptionnelle, sur papier baryté, avec des demi-tons très riches et des noirs réellement denses.
Ils sont tous signés et datés par l’artiste lui-même, tous authentifiés par le curateur. Des tirages tellement rares qu’ils peuvent être considérés comme pièces uniques, même si certains furent tirés en 2 ou 3 exemplaires dans les années 1980 et 90.

La biographie détaillée de l’artiste se trouve sur Wikipédia, ses livres et les catalogues de ses expositions sont toujours en vente sur Internet (par Amazon et d’autres), tout permet à l’amateur de vérifier par lui-même que l’offre qui lui est faite aujourd’hui est véritablement exceptionnelle.
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À propos du vendeur

Brussels Art Edition • Belgique

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Jörg Krichbaum, Coffret  Lines - Tiré à part # 1 (Une palissade en métal - Florence, Italie)
Allemagne  • 1945

Présentation

Jörg Krichbaum a seulement 56 ans lorsqu'il meurt à Bruxelles en 2002. Chacun de ses talents, tous déjà établis et reconnus, suffirait à remplir une vie : s'il est avant tout un photographe respecté, admiré et honoré de nombreuses expositions et récompenses professionnelles, il est aussi un homme de plume, journaliste, éditeur, écrivain, romancier, dramaturge. Et parce que ses journées sont à l'évidence plus longues que les nôtres, il ajoute la peinture, la sculpture et la composition musicale. C'est un homme à l'existence foisonnante qui deviendra pourtant par ses photos « le pape » du minimalisme, l'expert de l'épure, le narrateur de l'absence, le continuateur parfait de la « Nouvelle Objectivité ». 

Féru d'architecture, passionné de design, il donne à voir le plus petit détail, comme une poignée de porte, le rebord d'une marche, l'armature métallique d'une tente sans toile, non parce qu'il est élément parlant d'une construction remarquable, mais parce qu'il témoigne d'une vie intrinsèque, la sienne, de tant d'autres aussi, celles de ses utilisateurs absents car passés par là autrefois mais jamais saisis par l'objectif du photographe, et de toutes les vies que l'on pourra imaginer puisque tels sont le destin et la liberté des spectateurs, des voyeurs, que nous sommes. 

De ces vides graphiques il fait des trop-pleins narratifs, laissant à chacun l'envie « d'imaginer » ce qui nous semble manquer dans ces images inanimées. Aucun être humain n'apparaît jamais dans cette œuvre photographique, à l'exception de statues ou de mannequins dans la vitrine d'un magasin de mode. 

Et pourtant chacune de ces photos crie, hurle même, sa dimension humaine parce que partout, d'un empilement angoissant de tubes à Rome à la placidité d'une bitte d'amarrage dans le port de Lisbonne, tout est création humaine, trace, affirmation de soi et finalement arrogance d'une espèce envers toutes les autres qui peuplent également cette planète. 

Quelles questions pouvait se poser un artiste allemand, né en novembre 1945 à Dortmund, arrivé à la plénitude de sa cinquantaine et dominant parfaitement sa technique, sur la place de l'homme et sa responsabilité directe dans l'évolution de l'humanité ? Regardées une par une, ces photos disent l'infini du vide, l'insondabilité de l'être humain, l'effroi de l'abîme tel que ce XXème siècle en imposa.

Mises en résonance, comme elles sont ici présentées, regroupées en portfolios thématiques, elles affirment au contraire le vacarme des hommes, la persistance de ses chimères. Par l'étalement des prises de vues sur plusieurs années et en des lieux incroyablement variés, ces portfolios attestent de la volonté de l'artiste, comme pour une peinture pointilliste, de créer progressivement le message pour qu'il apparaisse dans l'ensemble constitué. Un travail rare, une œuvre exceptionnelle, interrompus prématurément mais que l'on peut enfin trouver ici pour le plus grand plaisir des amateurs et collectionneurs d'art.

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