Né en 1971, Samuel Favarica commence dès le début des années 90 à recouvrir dans sa globalité l’intérieur de son appartement par ses peintures et sculptures, par des bas-reliefs et l’agencement d’un agglomérat d’objets hétéroclites.
Guidé par l’obsession de ne laisser le moindre souffle se glisser dans l’osmose absolue de ses créations, Favarica investit des cahiers, à l’encre de chine rehaussée d’aquarelle, des façades, des automobiles, à la peinture aérosol, avant de peindre à l’acrylique sur toiles classiques et de produire des œuvres sur Dibond en aluminium brossé verni à l’étuve.
Violemment colorées de rouges écarlates, de bleus inattendus, de verts livides où cohabitent des figures aux traits lourds et burinés qui s’entrelacent et se chevauchent sans jamais laisser le moindre espace vide, ses compositions, par leur caractère singulier ainsi que par la multiplicité des techniques utilisées, donnent définitivement au spectateur le sentiment d’un baroquisme exacerbé.
Né en 1971, Samuel Favarica commence dès le début des années 90 à recouvrir dans sa globalité l’intérieur de son appartement par ses peintures et sculptures, par des bas-reliefs et l’agencement d’un agglomérat d’objets hétéroclites. Guidé par l’obsession de ne laisser le moindre souffle se glisser dans l’osmose absolue de ses créations, Favarica investit des cahiers, à l’encre de chine rehaussée d’aquarelle, des façades, des automobiles, à la peinture aérosol, avant de peindre à l’acrylique sur toiles classiques et de produire des œuvres sur Dibond en aluminium brossé verni à l’étuve. Violemment colorées de rouges écarlates, de bleus inattendus, de verts livides où cohabitent des figures aux traits lourds et burinés qui s’entrelacent et se chevauchent sans jamais laisser le moindre espace vide, ses compositions, par leur caractère singulier ainsi que par la multiplicité des techniques utilisées, donnent définitivement au spectateur le sentiment d’un baroquisme exacerbé.