
Alain Le Chapelier
France
Présentation
"La photographie est pour moi une activité de loisir que je pratique depuis mon enfance. J'ai appris à photographier et à développer les films dans le laboratoire familial puis à les tirer sous l'agrandisseur. Je suis resté fidèle à l'argentique avec une technique hybride.
Les photos prises sur un film argentique sont développées traditionnellement et scannées puis imprimées au moyen d'un procédé d'impression Piezo Charbon, procédé jet d'encre aux pigments de charbon. J'utilise, également, un appareil numérique, j'utilise donc, conjointement, le support digital et l'analogique.
Mes sujets de prédilection sont l'homme dans son environnement quotidien, dans la rue mais aussi dans le paysage qui témoigne très fréquemment de l'activité humaine ou encore dans des intérieurs, par exemple dans les musées.
Dans le cadre de l'exposition de la Société Nationale des Beaux Arts, j'ai été distingué par la mention spéciale Jean Larivière en 2014, par le prix Jean Larivière en 2015, par la médaille de bronze du prix du jury invité en 2016, et par la médaille de bronze du jury invité et la mention spéciale Jean Larivière en 2017."
Alain Le Chapelier utilise des appareils photographiques numériques sans autofocus, cela l’oblige à anticiper les situations et à réaliser les réglages en amont pour saisir la photographie au vol dans des ambiances graphiques. Le photographe s’intéresse à la condition humaine, à la ville comme à la campagne. Ses séries se construisent au fur et à mesure des années, captant ses sujets en interaction avec leur environnement. Les photographies d’Alain Le Chapelier sont des témoignages individuels, chaque image racontant une histoire. Ses inspirations lui viennent de Cartier Bresson pour la composition instantanée mais aussi de Willy Ronnis pour l’attente d’un nouvel élément arrivant dans un cadre photographique défini.
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Qui est l'artiste ?
"La photographie est pour moi une activité de loisir que je pratique depuis mon enfance. J'ai appris à photographier et à développer les films dans le laboratoire familial puis à les tirer sous l'agrandisseur. Je suis resté fidèle à l'argentique avec une technique hybride.
Les photos prises sur un film argentique sont développées traditionnellement et scannées puis imprimées au moyen d'un procédé d'impression Piezo Charbon, procédé jet d'encre aux pigments de charbon. J'utilise, également, un appareil numérique, j'utilise donc, conjointement, le support digital et l'analogique.
Mes sujets de prédilection sont l'homme dans son environnement quotidien, dans la rue mais aussi dans le paysage qui témoigne très fréquemment de l'activité humaine ou encore dans des intérieurs, par exemple dans les musées.
Dans le cadre de l'exposition de la Société Nationale des Beaux Arts, j'ai été distingué par la mention spéciale Jean Larivière en 2014, par le prix Jean Larivière en 2015, par la médaille de bronze du prix du jury invité en 2016, et par la médaille de bronze du jury invité et la mention spéciale Jean Larivière en 2017."
Alain Le Chapelier utilise des appareils photographiques numériques sans autofocus, cela l’oblige à anticiper les situations et à réaliser les réglages en amont pour saisir la photographie au vol dans des ambiances graphiques. Le photographe s’intéresse à la condition humaine, à la ville comme à la campagne. Ses séries se construisent au fur et à mesure des années, captant ses sujets en interaction avec leur environnement. Les photographies d’Alain Le Chapelier sont des témoignages individuels, chaque image racontant une histoire. Ses inspirations lui viennent de Cartier Bresson pour la composition instantanée mais aussi de Willy Ronnis pour l’attente d’un nouvel élément arrivant dans un cadre photographique défini.
Quelles sont ses 3 principales œuvres ?