
Barbara d'Antuono
France • 1954
Présentation
Barbara d’Antuono, d’origine italienne, arrive en Corse à l’âge de sept ans et en repart dans les années 80 pour les Antilles. Après avoir vogué d’îles en îles, en passant par la Jamaïque, elle fera escale à Haïti, où elle restera cinq ans.
C’est là, dans ce foisonnement artistique, inspirée notamment par le culte vaudou, qu’elle s’initiera à la peinture et à la sculpture, en fréquentant assidument l’atelier du peintre haïtien Ronald Meus. Elle commence son parcours artistique par l’art brut, avec des assemblages de bois et d’ossement, des collages des totems, des fétiches…babette El Saieh, fille du grand collectionneur Issa El Saieh, lui donne sa première chance d’exposer à l’hôtel Olofson de Port-au-Prince. S’en suivront plusieurs expositions à Haïti.
Elle rentre en France en 1986 et commence à développer sa propre technique. Artiste complète, elle allie la sculpture, la peinture, le graphisme, la couture, la poésie et la musique.
Globe-trotter, elle nourrit son imaginaire de ses voyages en Afrique notamment, où elle retrouvera, particulièrement au Bénin et au Togo, en pays Tamberma, le vaudou ancestral.
De ce savoureux mélange naît un style onirique, bigarré et parfois naïf, qui se retrouve dans toute son œuvre. Barbara partage ses rencontres et ses découvertes du monde, en laissant toujours une grande place à l’imaginaire. Ses thèmes de prédilection sont le vaudou, l’Afrique, la mixité, les choses de la vie et de la mort. Créatrice d’imaginaire, Barbara donne une piste, à vous de faire votre chemin.
Difficilement classable dans les courants d’art conventionnels, elle se situe néanmoins entre l’art brut, l’art singulier, l’underground. Certains voient dans ses œuvres des influences dadaïstes et surréalistes ou encore l’esprit de Basquiat.
Dès 1995, Barbara expose régulièrement à Paris, mais également en Allemagne. Elle a participé à plusieurs expositions collectives, dont une en hommage Wilfredo Lam à L’Unesco. Depuis 1998, elle deviendra une artiste reconnue de la Galerie Art Factory puis de la Galerie l’Art de Rien. Elle a exposé plusieurs fois au Lavoir moderne Parisien ainsi qu’à la Chapelle du Collège de Carpentras. En 2012, elle présente dans la galerie Electron Libres, une exposition essentiellement consacrée au vaudou haïtien, tel un retour aux sources.
En 2013, elle s’affranchit temporairement du figuratif pour se tourner vers l’abstrait onirique. Les personnages disparaissent au profit de formes plus abstraites, constituant les éléments de mécaniques absurdes aux finalités improbables et de villes étranges et poétiques à construire et à déconstruire.
En 2014, réapparaissent les personnages, sous forme de groupe en interaction, mais dans un graphisme minimaliste, tel un clin d’œil à sa première rencontre artistique : l’art brut.
Ainsi, quelle que soit son inspiration, l’humain conserve une place de sentinelle dans son univers créatif.
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C’est là, dans ce foisonnement artistique, inspirée notamment par le culte vaudou, qu’elle s’initiera à la peinture et à la sculpture, en fréquentant assidument l’atelier du peintre haïtien Ronald Meus. Elle commence son parcours artistique par l’art brut, avec des assemblages de bois et d’ossement, des collages des totems, des fétiches…babette El Saieh, fille du grand collectionneur Issa El Saieh, lui donne sa première chance d’exposer à l’hôtel Olofson de Port-au-Prince. S’en suivront plusieurs expositions à Haïti.
Elle rentre en France en 1986 et commence à développer sa propre technique. Artiste complète, elle allie la sculpture, la peinture, le graphisme, la couture, la poésie et la musique.
Globe-trotter, elle nourrit son imaginaire de ses voyages en Afrique notamment, où elle retrouvera, particulièrement au Bénin et au Togo, en pays Tamberma, le vaudou ancestral.
De ce savoureux mélange naît un style onirique, bigarré et parfois naïf, qui se retrouve dans toute son œuvre. Barbara partage ses rencontres et ses découvertes du monde, en laissant toujours une grande place à l’imaginaire. Ses thèmes de prédilection sont le vaudou, l’Afrique, la mixité, les choses de la vie et de la mort. Créatrice d’imaginaire, Barbara donne une piste, à vous de faire votre chemin.
Difficilement classable dans les courants d’art conventionnels, elle se situe néanmoins entre l’art brut, l’art singulier, l’underground. Certains voient dans ses œuvres des influences dadaïstes et surréalistes ou encore l’esprit de Basquiat.
Dès 1995, Barbara expose régulièrement à Paris, mais également en Allemagne. Elle a participé à plusieurs expositions collectives, dont une en hommage Wilfredo Lam à L’Unesco. Depuis 1998, elle deviendra une artiste reconnue de la Galerie Art Factory puis de la Galerie l’Art de Rien. Elle a exposé plusieurs fois au Lavoir moderne Parisien ainsi qu’à la Chapelle du Collège de Carpentras. En 2012, elle présente dans la galerie Electron Libres, une exposition essentiellement consacrée au vaudou haïtien, tel un retour aux sources.
En 2013, elle s’affranchit temporairement du figuratif pour se tourner vers l’abstrait onirique. Les personnages disparaissent au profit de formes plus abstraites, constituant les éléments de mécaniques absurdes aux finalités improbables et de villes étranges et poétiques à construire et à déconstruire.
En 2014, réapparaissent les personnages, sous forme de groupe en interaction, mais dans un graphisme minimaliste, tel un clin d’œil à sa première rencontre artistique : l’art brut.
Ainsi, quelle que soit son inspiration, l’humain conserve une place de sentinelle dans son univers créatif.




















Pensées chaotiques et autres perturbations cérébrales
Barbara d'Antuono
Peinture - 50 x 50 x 5 cm
2 800 €

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Peinture - 50 x 50 x 5 cm
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Barbara d'Antuono
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Vendue

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Qui est l'artiste ?
Barbara d’Antuono, d’origine italienne, arrive en Corse à l’âge de sept ans et en repart dans les années 80 pour les Antilles. Après avoir vogué d’îles en îles, en passant par la Jamaïque, elle fera escale à Haïti, où elle restera cinq ans.C’est là, dans ce foisonnement artistique, inspirée notamment par le culte vaudou, qu’elle s’initiera à la peinture et à la sculpture, en fréquentant assidument l’atelier du peintre haïtien Ronald Meus. Elle commence son parcours artistique par l’art brut, avec des assemblages de bois et d’ossement, des collages des totems, des fétiches…babette El Saieh, fille du grand collectionneur Issa El Saieh, lui donne sa première chance d’exposer à l’hôtel Olofson de Port-au-Prince. S’en suivront plusieurs expositions à Haïti.Elle rentre en France en 1986 et commence à développer sa propre technique. Artiste complète, elle allie la sculpture, la peinture, le graphisme, la couture, la poésie et la musique.Globe-trotter, elle nourrit son imaginaire de ses voyages en Afrique notamment, où elle retrouvera, particulièrement au Bénin et au Togo, en pays Tamberma, le vaudou ancestral.De ce savoureux mélange naît un style onirique, bigarré et parfois naïf, qui se retrouve dans toute son œuvre. Barbara partage ses rencontres et ses découvertes du monde, en laissant toujours une grande place à l’imaginaire. Ses thèmes de prédilection sont le vaudou, l’Afrique, la mixité, les choses de la vie et de la mort. Créatrice d’imaginaire, Barbara donne une piste, à vous de faire votre chemin.Difficilement classable dans les courants d’art conventionnels, elle se situe néanmoins entre l’art brut, l’art singulier, l’underground. Certains voient dans ses œuvres des influences dadaïstes et surréalistes ou encore l’esprit de Basquiat.Dès 1995, Barbara expose régulièrement à Paris, mais également en Allemagne. Elle a participé à plusieurs expositions collectives, dont une en hommage Wilfredo Lam à L’Unesco. Depuis 1998, elle deviendra une artiste reconnue de la Galerie Art Factory puis de la Galerie l’Art de Rien. Elle a exposé plusieurs fois au Lavoir moderne Parisien ainsi qu’à la Chapelle du Collège de Carpentras. En 2012, elle présente dans la galerie Electron Libres, une exposition essentiellement consacrée au vaudou haïtien, tel un retour aux sources.En 2013, elle s’affranchit temporairement du figuratif pour se tourner vers l’abstrait onirique. Les personnages disparaissent au profit de formes plus abstraites, constituant les éléments de mécaniques absurdes aux finalités improbables et de villes étranges et poétiques à construire et à déconstruire.En 2014, réapparaissent les personnages, sous forme de groupe en interaction, mais dans un graphisme minimaliste, tel un clin d’œil à sa première rencontre artistique : l’art brut.Ainsi, quelle que soit son inspiration, l’humain conserve une place de sentinelle dans son univers créatif.
Quelles sont ses 3 principales œuvres ?
Quel est le mouvement artistique de Barbara d'Antuono ?
Les mouvements artistiques sont les suivants: Artistes inspirés par Basquiat, Artistes du textile
Quand est né(e) Barbara d'Antuono ?
L'année de naissance de l'artiste est : 1954