Lorant Pomarès

Lorant Pomares né le 12 octobre 1964 à Toulon dans le var est un artiste peintre figuratif et expressionniste abstrait.

Voici une petite biographie de lui écrite par son amie Cristina de Dolce Acqua (collectionneuse) : 

Il est aussi musicien et pratique la photographie. Dés l'âge de ses 13 ans, il se met au dessin. Il suivit les cours des Beaux Arts de Toulon pendant 5 ans. Ces différents médiums nourrissent sa pratique picturale.

Il se revendique comme « artiste populaire » réhabilitant ainsi l'aristocratie et la dignité de l'humble qui s'adresse  à tous contrairement à la culture avant-gardiste qui se veut élitiste.

En 1984 il commence trois séries de pastels.

En 1986 il expose pour la première fois à la MJC de Belgarde, Aix en Provence.

En 1988 il se met à la peinture à l'huile (sur toile).

Il expose alors, dans différentes villes dont Montpellier, Aix en Provence.

S'ensuit un long travail de recherche formelle dans le secret de son atelier pour aboutir aujourd'hui à des compositions d'influence souvent constructiviste, d'abstraction lyrique ou d'expressionnisme abstrait et que souvent il conjugue avec des motifs figuratifs.

Tout dernièrement il s'est produit à Toulon à à l'Atelier d'Autrefois en 2017, à l'Association « Cultures et Expressions cette même année, à l'Espace culturel du « Petit Chicago en avril 2018. & au « Salon des artistes et des créateurs », a la " Galerie Dscreart " en septembre 2018.

Univers et climats oniriques, intensité lumineuse des aplats cernés de noir (comme le plomb délimitant les vitraux des cathédrales), scènes intimistes, Lorant Pomares peint toute la palette des émotions :

- La virginité et l'ingénuité des êtres, la langueur des transports amoureux, la sensualité des corps, la perpétuelle régénérescence du vivant, l'ivresse de la fête, mais aussi la musicalité de ses notes en apesanteur, la mélancolie ou le deuil.

Le titre de ses œuvres« Le Minotaure », « Flèches de cupidon», « Naïade ,» « Sirène » témoignent de son gout  pour la mythologie grecque, comme il en est aussi dans l'évocation permanente du Dieu « Argos » aux multiples yeux :

Regard qui pointe et interroge sans discontinuer le spectateur :

L'œil de Caïn, celui du peintre  voyant,  toujours  aux aguets de la profondeur des choses qui constamment veille et interpelle le monde, dans cet acte de captation par excellence du « Voir ».

La force, la simplicité, la clarté de son message et la sincérité des sentiments qui animent ses peintures n'ont d'autre objectif que celui de ré-enchanter le monde suscitant en nous l'innocence du premier regard, celui du paradis perdu sous le poids de nos conditionnements.

Réminiscence de la joie et de la félicité inhérente à notre nature originelle.