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Ebuka Michael
Bad Habits - Greed, 2019
805 €
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Technique
Dimensions cm | inch
40 x 30 x 0.2 cm 15.7 x 11.8 x 0.1 inch
Support
Encadrement
Non encadrée
Tirage
Oeuvre numerotée et limitée à 15 exemplaires
15 exemplaires restants
Authentification
Oeuvre vendue avec facture de la galerie
et certificat d’authenticité
Signature
Oeuvre signée
A propos de l'oeuvre
Oeuvre vendue en parfait état
Né au Nigeria en 2000, Ebuka Michael est étudiant en photographie et en graphisme à l'université de Lagos. Fan avoué de 8e art, il a commencé à exprimer sa sensibilité à travers la photographie. Fortement influencé par son environnement, Lagos, mégalopole qui grouille d'énergie et le fascine, son regard s'attache à exprimer l'instant présent au fil des scènes de vie de ses contemporains. A ses yeux, la couleur traduit avec aisance la densité humaine et les sentiments suscités par ces moments chargés d'intensité. Conscient de la joie suscitée par ses images aux tonalités colorées auprès de son entourage, Ebuka parvient dès lors à saisir la beauté tout en la partageant avec le plus grand nombre Ses images traversées de fulgurances pastelles, rêveuses, se situent souvent sur les bords du fleuve Iboko car « il incarne la porte d'Ogun. Je vis à Iboko et ce fleuve qui porte en fait le nom de rivière d'Ogun, je l'appelle le fleuve d'Iboko depuis j'y ai saisi mes séries. C'est un espace emblématique de mon art, je l'ai découvert en 2019. Après y avoir réalisé mes premières photographies, j'ai été très surpris de l'esthétique hors-pair qui s'en révélait », précise-t-il.
Profondément inspiré par la photographie documentaire, la musique, la nature, sa communauté ou encore sa relation à Dieu, Ebuka signifie « Dieu est grand », le jeune photographe poursuit son incessante exploration. « Je me définis comme un photographe de l'iphone car cet outil me permet de raconter les histoires qui me marquent et que j'observe à Lagos où il se passe sans cesse un événement à capturer dans l'immédiateté. Je ne pourrai pas réaliser de tels récits au moyen d'un appareil photo », confie-t-il.
Toujours guidé par sa maîtrise de la couleur, à l'affût de nouvelles idées qui nourrissent sa créativité, il poursuit de front, son expérimentation avec un évident style et ses études. Cet artiste avoue être influencé par l'univers coloré du célèbre photographe Prince Jyesi et de Danny Wonders. Les travaux d'Ebuka Michael connaissent un vif succès à l'international et ont déjà conquis les magazines Vogue Italia, Afropunk, Vsco. Ses travaux débordant d'énergie communicative ont de plus, fleuri les rues de Londres.
Ebuka Michael travaille actuellement autour de « Faceless », une série inspirante qu'il souhaite exposer à Lagos, « sa ville de cœur » et au sein de multiples métropoles du continent.