Présentation
Dans la création publicitaire depuis 30 ans, il décide il y a 10 ans de franchir le pas vers la création artistique pure. Il entend, différencier la publicité « art commercial » destiné a vendre un produit, de l’art, qui doit selon sa définition, susciter une émotion quelle qu’elle soit.
Le Pop Art est l’un des mouvements qu’il affectionne et qui, par son esthétique, sa combinaison entre images et textes, a naturellement dirigé son travail vers un univers dédié à l’image et à la mise en exergue d’objet et de thèmes populaires.
A la façon de Roy Lichtenstein, Tom Wesselmann ou encore James Rosenquist il utilise les codes de son époque pour parler du quotidien, et de certaines préoccupations de masse.
Dans la série « Les nouveaux super-héros » il veut montrer deux choses, l’esthétique du sport et la représentation du super homme véhiculée par les joueurs de rugby entre autres. Montrer la force déployée, le combat au corps à corps, l’engagement physique presque surhumain. Les titres empruntés au jargon rugbystique sont évocateurs de cet engagement.
« Depuis l’antiquité, la foule a besoin de Sports, de jeux, et d’affrontements. La foule a besoin d’être galvanisée par des héros, ici représenté par des rugbymans et les Sumos. De nos jours, et avec l’aide du cinéma et de la BD, nous fantasmons sur le « super-homme » représenté par des personnages comme Superman, Batman, Spiderman... »
La société de consommation l’inspire, il en dénonce les dérives à travers la série « Dernière Con’sommation » :
« Automédication » est une façon de désigner une perte de contrôle, le médicament est banalisé, c’est un suicide autorisé.
« Femme Fatale » elle tue sans s’en apercevoir. Au delà de son intérieur elle nettoie définitivement la nature. Nous n’aurons plus que des maisons propres et une nature morte.
« Monsieur Propre » icône, Monsieur Propre est toujours représenté de face et il décide de le représenter de profil. Une façon de le montrer d’un autre point de vu, on le découvre autrement.
« J’accentue tout les codes utilisés dans les publicités destinées à nous vendre le produit pour mettre en évidence la face cachée du produit. »
« Pan » est la représentation même d’une société de consommation régie par la traçabilité de tout. Le suivi, l’identification, l’indexation, l’accès en un clic à toute sorte de données, la fin de l’anonymat. Point de départ de sa réflexion sur la mauvaise consommation dont nous sommes tous les consommateurs.
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Le Pop Art est l’un des mouvements qu’il affectionne et qui, par son esthétique, sa combinaison entre images et textes, a naturellement dirigé son travail vers un univers dédié à l’image et à la mise en exergue d’objet et de thèmes populaires.
A la façon de Roy Lichtenstein, Tom Wesselmann ou encore James Rosenquist il utilise les codes de son époque pour parler du quotidien, et de certaines préoccupations de masse.
Dans la série « Les nouveaux super-héros » il veut montrer deux choses, l’esthétique du sport et la représentation du super homme véhiculée par les joueurs de rugby entre autres. Montrer la force déployée, le combat au corps à corps, l’engagement physique presque surhumain. Les titres empruntés au jargon rugbystique sont évocateurs de cet engagement.
« Depuis l’antiquité, la foule a besoin de Sports, de jeux, et d’affrontements. La foule a besoin d’être galvanisée par des héros, ici représenté par des rugbymans et les Sumos. De nos jours, et avec l’aide du cinéma et de la BD, nous fantasmons sur le « super-homme » représenté par des personnages comme Superman, Batman, Spiderman... »
La société de consommation l’inspire, il en dénonce les dérives à travers la série « Dernière Con’sommation » :
« Automédication » est une façon de désigner une perte de contrôle, le médicament est banalisé, c’est un suicide autorisé.
« Femme Fatale » elle tue sans s’en apercevoir. Au delà de son intérieur elle nettoie définitivement la nature. Nous n’aurons plus que des maisons propres et une nature morte.
« Monsieur Propre » icône, Monsieur Propre est toujours représenté de face et il décide de le représenter de profil. Une façon de le montrer d’un autre point de vu, on le découvre autrement.
« J’accentue tout les codes utilisés dans les publicités destinées à nous vendre le produit pour mettre en évidence la face cachée du produit. »
« Pan » est la représentation même d’une société de consommation régie par la traçabilité de tout. Le suivi, l’identification, l’indexation, l’accès en un clic à toute sorte de données, la fin de l’anonymat. Point de départ de sa réflexion sur la mauvaise consommation dont nous sommes tous les consommateurs.
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