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Angers, France

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Exposition Bauduin / Bruce / Ceña / Dymond / Joannes / Quincoces / Roux-Fontaine

TOULOUSE 20 septembre 2018 au 20 octobre 2018

Présentation
« Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière. »

- Victor Hugo

S’inscrivant dans une longue filiation de peintres de paysages nocturnes, Jérôme Bauduin fait de la nuit le sujet principal de ses tableaux récents et l’élément actif de sa peinture.

L’enjeu de cette série de toiles est donc tout à la fois de montrer la fascinante beauté de la nuit urbaine et de mettre en exergue ses propriétés physiques ; sa capacité à transfigurer les couleurs et à sublimer la lumière.

Fasciné par l’énergie particulière de la vie nocturne des grandes cités, il traduit au moyen de la peinture les formidables potentialités offertes par la nuit. Par opposition aux rythmes contraints des jours, le temps nocturne des grandes villes est pour l’individu un des derniers remparts de sa liberté d’action et d’expression. La nuit ouvre le champ des possibles : elle offre aux hommes et aux femmes un temps vacant qui souvent semble s’étirer, un espace libre à arpenter selon de nouvelles circulations – au gré des désirs, de l’impulsion, de la fantaisie – permettant ainsi les rencontres les plus improbables, les expériences les plus inattendues ou la découverte de lieux jusqu’alors inexplorés.

Manifestes pour une vie noctambule, guidée par le hasard et les passions, ces toiles sont aussi pour Jérôme Bauduin une manière d’interroger la peinture et de jouer avec cette réalité paradoxale et passionnante : la nuit est finalement plus colorée que le jour.

L’artiste révèle en effet dans cette série, au moyen d’une multitude de touches colorées, les propriétés singulières de la nuit, qui possède tout à la fois le pouvoir de concentrer la lumière, d’exalter les couleurs primaires, de faire vibrer chaque teinte saillant de l’obscurité mais aussi d’homogénéiser et de créer des continuités rythmiques dans l’espace de la toile.

Son sujet lui permet aussi de traduire l’idée du mouvement par le biais des vibrations de la lumière : les lueurs des phares forment derrière les voitures comme des traînées astrales, les réverbères créent dans le ciel des halos mystérieux, les vitrines deviennent des parallélépipèdes iridescents.

S’appuyant sur des photographies qu’il retravaille avec un logiciel de retouche d’images jusqu’à l’obtention d’un rendu qui servira de base à sa composition, Jérôme Bauduin opère un pont entre la tradition picturale et les outils de la modernité. Il utilise les techniques contemporaines au stade du travail préparatoire et revient aux techniques picturales traditionnelles de l’huile et aux vernis des maîtres anciens au moment de l’exécution de la toile. Cette synthèse est pour lui une manière de s’inscrire pleinement dans son époque et de rendre hommage aux artistes qui l’ont précédé, qui, tout comme lui, ont été porteurs d’une interrogation sur les forces qui animent le monde, le font évoluer et induisent notre manière de l’habiter.


BRUCE

Bruce vit et travaille entre Paris et Berlin.
Né en 1977, en région parisienne, il appartient à la deuxième génération de graffeurs. Il fait ses premiers pas dans le tag en 1993, peint ses premiers trains en 1995 : whole cars, end to end, panels et autres figures de style déferlent sur le métro parisien et en Europe.

Il est connu pour l’originalité de son style, simple et pourvu d’une grande force d’impact et pour ses nombreuses collaborations avec l’artiste Mina pour leurs graffitis uniques colorés et humoristiques qui se rapportent généralement à divers sujets culturels.

Leurs pièces sont marquées par des lignes précises et d’une simplicité efficace et ils parviennent avec brio à combiner éléments figuratifs et abstraits.


José Luis CEÑA

José Luis Ceña Ruiz est né à Malaga en 1982.

Il a étudié les beaux-arts à l’Université Complutense de Madrid (2000-2005),la gravure et le graphisme à la Monnaie royale espagnole de Madrid. Actuellement parallèlement à sa carrière, professeur de gravure en Master / Media Graphics Printing à l’université de Castilla la Mancha.

Ses peintures sont riches en caractère. La tangibilité de la composition permet au spectateur de projeter son propre sentiment et sa propre signification sur l’œuvre, créant ainsi ses propres interprétations individuelles. Une partie de son iconographie émerge de ses pensées basées sur des lectures ou des expériences personnelles. Il y a un écho indéniable du mystère romantique tout au long de l’œuvre.

Son travail n’évoque pas directement le sens, mais suggère plutôt la réalité cachée dans l’émotion, une chance, un récit. Son art fonctionne comme une matrice du sentiment mélancolique parmi le public qui, bien qu’il n’ait pas vécu les événements décrits, sera poétiquement invité à ressentir la nostalgie des moments qui appartiennent à son passé.


Stéphane JOANNES

Né en 1975 à Besançon, Stéphane Joannes a étudié à l’Ecole supérieure des Arts décoratifs de Strasbourg (DNSEP Art). C’est depuis 1997 que Stéphane Joannes se consacre principalement à la réalisation de navires sur des grandes toiles ou en diptyque.

C’est après un séjour au Havre que Joannes est devenu fasciné par ces gigantesques cargos parcourant les mers du monde. Au XXI ème siècle peindre et représenter les navires est devenu quelque chose de non-commun. Nous sommes familiers des bateaux des XVII ème ou XVIII ème siècle, mais Joannes réussit le tour de force de nous captiver avec ses peintures spectaculaires qui dégagent malgré tout une impression de tranquillité et de calme.

Un travail de finition et de précision irréprochable alors que Stéphane Joannes vous avoue sans détour que lorsque l’on n’a pas de génie, il faut travailler et travailler encore. Il travaille lorsque d’autres calculent, nous enchante quand d’autres nous terrassent d’ennui.
C’est un peintre, un vrai, un artisan du silence et de la lumière.

« Des cargos rouillés sont à l’amarre, pour toujours. L’air et l’eau ont la même fluidité sale, légèrement grasse et transparente. Les cargos meurent, lentement. Leurs passages invisibles, innombrables et bruyants, apparaissent encore en lignes régulières sur l’eau et l’air, l’air et l’eau. Le métal bientôt disparaîtra, mais pas encore. Un dernier voyage est impossible, (…) La mort s’est fait une beauté. Un envol silencieux, permanent, guette avec une infinie patience les carcasses vidées de ces supertankers et le goût de Joannes pour la matière apparaît dans toute son exigence. »


Alejandro QUINCOCES

Né en 1951 à Bilbao où il Il vit et travaille toujours
Alejandro Quincoces est passionné depuis le plus jeune âge autant par la musique que la peinture. Il a commencé ses études de Beaux-Arts à 36 ans, et obtient rapidement une vraie reconnaissance en Espagne par de nombreux prix, et par sa présence dans de nombreuses collections. Il est également exposé régulièrement en Europe et aux Etats-Unis. Les sujets auxquels il se consacre sont essentiellement des paysages urbains : villes, usines, autoroutes vues de loin ou de près, qu’il fixe, soustrayant ainsi un instant de la réalité quotidienne à l’incessant flux du temps.

A travers la superposition de couches de peinture à l’huile sur le bois, il cherche à capter la lumière vibrante de son environnement. C’est une œuvre mature, forte, où les effets de matière et de lumière créent des vibrations subtiles. L’artiste joue sur la tension entre l’abstraction et la peinture référentielle.


ROUX-FONTAINE

Né en 1966 en Savoie, Eric ROUX-FONTAINE vit et travaille en Auvergne Rhône-Alpes.

Après les Beaux Arts de Saint Etienne en 1988, il expose à la galerie Métropolis (1991).

Le musée des Beaux Arts de Chambéry, en Savoie, lui offre l’opportunité d’investir les collections permanentes du musée en 1995, et d’installer ses toiles au milieu des collections des primitifs Italiens.

Il entame alors un long voyage à la rencontre des cultures gitanes et Tsiganes à travers le monde, en Pologne, Roumanie, Bosnie, France, jusqu’à l’Inde du nord, point de départ historique des populations Rom. De ces voyages, naîtront plusieurs collaborations, avec des écrivains Rom comme Rajko Djuric, co-scénariste du Temps des gitans d’Emir Kusturica et des musiciens comme Thierry Robin.

A partir de 1998, il expose régulièrement ses travaux en France et à l’étranger.

Entre 1999 et 2003, à la galerie Olivier Houg, il présente « A palo seco » dessin et installation vidéo, puis « Sind », photographies retravaillé à l’or. En 2001, à Dublin « Wispering in paradise” à la Bridge Gallery.

En 2002, au Rez d’Art Contemporain de Meyzieux, il installe son “Jardin Nomade”, œuvre vidéo et typographique (L’installation fonctionne comme une fable et propose au visiteur un « voyage à travers le Voyage. »).

En 2007 il expose à la galerie le Phénix à Bruxelles et collabore depuis 2008 avec la galerie Felli à Paris.

Il est présenté en 2000 à la biennale de Turin puis dans différentes Art fair (Rotterdam, Dublin…) Ses peintures ont fait l’objet d’acquisitions pour les collections permanentes du Musée Paul Dini, et de l’AIB Fondation (Ireland).

En 2008, la fondation Josep Niebla (Gironne, Espagne) lui consacre une rétrospective.

Eric Roux- Fontaine a aussi réalisé plusieurs livres d’artiste (Un voyage aux sources gitanes, Ed. du Garde Temps, Rromano than, chroniques réelles d’un pays imaginaire, Ed. Transbordeurs Elvis has left America Ed. Transbordeurs ) et plusieurs catalogues d’expositions ont été édités lors d’expositions personnelles. En 2010 une première monographie lui est consacrée aux éditions Critères.

Depuis 2010 il expose aux Etats-Unis, notamment à New York et à Miami.
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    Détails

  • 10 rue de la trinité
    31000, TOULOUSE
    France
    + 33 5 34 31 74 84 - +33 9 71 47 23 98

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