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Valérie Abadie
Reflet - Autoportrait, 2017
3 000 €
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Galerie d’art professionnelle
Biscarrosse, France
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Technique
Dimensions cm | inch
44 x 55 x 0.2 cm 17.3 x 21.7 x 0.1 inch
Support
Encadrement
Non encadrée
Tirage
Oeuvre Unique
Authentification
Oeuvre vendue avec facture de la galerie
et certificat d’authenticité
Signature
Oeuvre signée à la main
A propos de l'oeuvre
Oeuvre vendue en parfait état
Valérie Abadie est une artiste française autodidacte, née en 1965 à Tarbes.
Issue d'une famille dans laquelle l'activité artistique est fortement représentée, elle commence très tôt à s'exprimer sur le papier, sous les yeux de sa mère, artiste peintre aquarelliste, qui malgré son expérience, fait le choix délibéré, de ne jamais intervenir dans le dessin libre de sa fille.
A l'adolescence, son penchant pour le monochrome fait son apparition dans les pages de ses cahiers d'école sur lesquels elle dessine au stylo à encre. Durant des années elle réalise des dessins de contour et des dessins d'art brut aux allures surréalistes mettant en scène végétaux, animaux ou personnages imaginaires.
En 1991, lors d'un stage universitaire à Madrid, elle découvre dans les musées, les oeuvres des grands Maîtres de la peinture mondiale, vus jusqu'alors uniquement dans les livres, et tombe en admiration devant les tableaux de Hieronymus Bosch, Diego Velázquez, Francisco de Goya au Musée du Prado, puis devant ceux de Vasili Kandinski, Marc Chagall et Amedeo Modigliani, au Musée de la reina sofia qui accueille, cette année là, des oeuvres du Guggenheim New york Museum.
Rentrée en France en 1993, elle commence à dessiner pour la première fois avec des feutres "fineliner", à pigment d'encre de Chine, descendants des Isographs, qui deviendront son outil de prédilection. Ses sujets évoluent alors, et s'orientent vers les paysages, jardins et intérieurs qui lui permettent d'expérimenter de nouvelles textures.
Solitaire et rêveuse, elle consacre une partie de son temps libre à observer ce qui l'entoure et prend l'habitude de se livrer à de nombreuses prises de vue photographiques. Mais, durant plus d'une vingtaine d'années, absorbée par sa vie professionnelle et familiale, elle dessine peu.
En 2016, libérée de certaines contraintes, elle entre dans une période de création soutenue et obtient une distinction pour trois de ses réalisations, lors du concours France de la Social Network Art Competition de San Francisco en 2016. Ce qui permet à son travail d'être vu aux Etats unis durant un an, lors d'un parcours d'expositions en galeries et sites publics institutionnels.
A cette époque, elle décide de signer ses travaux avec le pseudonyme Valoushka pour ne pas être confondue avec sa mère qui porte le même nom civil. En 2017, elle entreprend l'élaboration de portraits grand format qui exigent des mois de travail. Parallèlement, elle commence à participer à ses premières expositions collectives locales en France et fait son entrée dans les Salons d'Art parisiens tels que le Salon d'automne et le Salon du dessin et peinture à l'eau de ART CAPITAL, ainsi qu'en tant que membre, dans la Fondation Taylor.
Démarche
Les œuvres de Valérie Abadie sont construites de lignes parallèles qui s'entrecroisent et se superposent et dont l'intensité ou le rapprochement engendrent différentes tonalités de gris et mouvement.
A la base de chacune de ses créations, se trouve une émotion, une rencontre ou un souvenir. "Être vrai" est d'ailleurs son maître-mot dans chacune des œuvres qu'elle entreprend. Ainsi, malgré une technique fastidieuse, faite de détails, c'est l'histoire racontée qui prime. Une histoire réelle toujours teintée d'une dose d'imaginaire. Une sorte de réel irréel en somme, né de la jonction entre sa lecture du monde extérieur et l'expression de son monde intérieur.
La traduction sur la feuille de cette double perception donne un résultat visuel presque réaliste, obtenu en empruntant des chemins improbables et surréalistes. Les spectateurs de ses travaux s'aperçoivent d'ailleurs souvent qu'il y a deux lectures possibles de ses œuvres, selon si elles sont regardées de loin ou de prêt.
Telle une équilibriste des lignes, Valérie Abadie poursuit ainsi sa route dans le dessin, pour nous faire partager sa vision mystérieuse du monde et des êtres.