Présentation
En 1989, prise dans les turbulences de la place Tien An Men, Catherine Henriette embrasse la photographie. Partie pour quelques mois après sa maîtrise de Langues Orientales, elle découvre un monde, la Chine, et son métier : la photographie.
De retour à Paris, elle met à profit sa connaissance de ce pays en pleine effervescence en signant son premier reportage pour Le Figaro Magazine. La presse française est alors en recherche de sujets sur cette Chine grandissante. Les commandes s’enchaînent : Géo, l’Express, Elle, Marie Claire… et Catherine Henriette intègre la prestigieuse agence de photographes Rapho.
Que ce soit en Ethiopie, en Chine ou dans le Pays Basque, la lumière est essentielle dans ses images, la couleur dessine le décor, les personnages bousculent l’objectif et son œil amusé déclenche. « J’ai été très influencée par William Klein et sa façon de photographier les gens à leur insu. Je suis très maladroite pour organiser une photo, par contre je peux rester des heures à regarder passer les gens, et attendre que le hasard mette en place la scénographie de l’image ».
Ces voyages pour le service culturel de l’Ambassade de France en Ethiopie ainsi que des reportages réalisés pour le magazine Géo lui donneront l’occasion d’exposer ses photographies à la maison d’Harar en 2003 et de publier son premier livre, le magnifique « Ethiopie, itinérances » avec l’écrivain Fabrice Gaignaud. Un ouvrage sur ses instants de vie en Chine est actuellement en cours de préparation.
En 2013, Catherine Henriette est nommée lauréate du prestigieux Prix de photographie Marc Ladreit De Lacharrière – Académie des Beaux-Arts pour son projet « Conte d’hiver, Conte d’été ».
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De retour à Paris, elle met à profit sa connaissance de ce pays en pleine effervescence en signant son premier reportage pour Le Figaro Magazine. La presse française est alors en recherche de sujets sur cette Chine grandissante. Les commandes s’enchaînent : Géo, l’Express, Elle, Marie Claire… et Catherine Henriette intègre la prestigieuse agence de photographes Rapho.
Que ce soit en Ethiopie, en Chine ou dans le Pays Basque, la lumière est essentielle dans ses images, la couleur dessine le décor, les personnages bousculent l’objectif et son œil amusé déclenche. « J’ai été très influencée par William Klein et sa façon de photographier les gens à leur insu. Je suis très maladroite pour organiser une photo, par contre je peux rester des heures à regarder passer les gens, et attendre que le hasard mette en place la scénographie de l’image ».
Ces voyages pour le service culturel de l’Ambassade de France en Ethiopie ainsi que des reportages réalisés pour le magazine Géo lui donneront l’occasion d’exposer ses photographies à la maison d’Harar en 2003 et de publier son premier livre, le magnifique « Ethiopie, itinérances » avec l’écrivain Fabrice Gaignaud. Un ouvrage sur ses instants de vie en Chine est actuellement en cours de préparation.
En 2013, Catherine Henriette est nommée lauréate du prestigieux Prix de photographie Marc Ladreit De Lacharrière – Académie des Beaux-Arts pour son projet « Conte d’hiver, Conte d’été ».
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L'année de naissance de l'artiste est : 2018