Présentation
Bernard Alligand est né en 1953 à Angers (Maine et Loire). Il s'initie à l'art graphique pendant trois ans puis au modelage et à la gravure.
Après avoir exposé dans les Pays de Loire et obtenu plusieurs prix, il s'installe sur la Côte d'Azur en 1982 et aménage son atelier à Vence. Là, il fera la connaissance des marchands et collectionneurs Jacques Matarasso, Paul Hervieu, Frédéric Gollong qui défendront son œuvre. Il rencontre Henri Goetz qui l'aidera à approfondir les techniques de gravure, dont celle au carborundum. Pierre Wicart de Vision Nouvelle lui propose son premier contrat d'exclusivité.
Installé à Paris depuis 1993, il quitte seulement son atelier de Vence en 1996. Sur des textes des poètes, Jean-Pierre Geay, Tita Reut, Gaston Puel, Michel Butor…, et sous l'impulsion d'éditeurs, il réalise de nombreux livres de bibliophilie à partir de 1995.
James Coignard le présente à l'atelier Pasnic avec qui il travaille maintenant depuis plus de vingt ans pour ses gravures. Il côtoie notamment les artistes Max Papart, Pierre-Marie Brisson, Hervé Di Rosa, Arthur-Luiz Piza, Hans Steffens, James Guitet, Soichi Hasegawa, Serge Hélénon, Théo Tobiasse, André Cottavoz, Gérard Eppelé, …
Depuis 1981, institutionnels, galeries et marchands exposent son œuvre en France et à l'étranger.
Le Ministère des affaires étrangères lui octroie une résidence d'artistes en Finlande (1994), Egypte (1998, 1999, 2000, 2006), Maroc (2001, 2002), Islande (2007), E.A.U. (2007, 2008), Jordanie (2009), Laos (2012). Lors de ces séjours, il représente la France à la Biennale internationale « Imagining the Book » à la bibliothèque d'Alexandrie, au Festival international d'art à Amman, au Printemps français à la bibliothèque nationale à Reykjavik et expose dans plusieurs centres culturels français.
Il expose dans de nombreux lieux institutionnels : château d'Aubenas (1993, 2001, 2005, 2011), Carmel de Tarbes (2003), chapelle de la Visitation Thonon-les-Bains (2004), Temple de Chaurey (2008) , médiathèque Toussaint d'Angers (2009, 2012), Grand Théâtre d'Angers (2012), … en galeries et librairies : Matarasso (Nice), Lacan (Strasbourg), Arcades, Arenthon, Nicaise, Demange, (Paris), Dazy (Dijon), Ducastel (Avignon), Raugraff (Nancy), Vasse (Lille),…
Il développe ses relations avec le monde de l'entreprise, travaille pour Compaq, Xerox, Socotec, Onyx, Groupe Tests, Caisse d'Epargne, Unicef,… De ses nombreux voyages en Europe, Japon, Corée, Egypte, Maroc, Islande, Emirats Arabes Unis, Oman, Laos, Cambodge, Thaïlande, il rapporte des matériaux, ainsi que des thèmes d'inspiration. Son œuvre s'interroge sur le rôle et les propriétés de la matière. La lumière jaillit ou transparaît, la couleur exulte, l'abstraction frôle la figuration. Une œuvre attentive aux coutumes et aux cultures. En cela, sa démarche artistique est moderne et spécifique, inscrite dans une expression « Abstraite lyrique matiériste » avec une dimension ethnologique.
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Après avoir exposé dans les Pays de Loire et obtenu plusieurs prix, il s'installe sur la Côte d'Azur en 1982 et aménage son atelier à Vence. Là, il fera la connaissance des marchands et collectionneurs Jacques Matarasso, Paul Hervieu, Frédéric Gollong qui défendront son œuvre. Il rencontre Henri Goetz qui l'aidera à approfondir les techniques de gravure, dont celle au carborundum. Pierre Wicart de Vision Nouvelle lui propose son premier contrat d'exclusivité.
Installé à Paris depuis 1993, il quitte seulement son atelier de Vence en 1996. Sur des textes des poètes, Jean-Pierre Geay, Tita Reut, Gaston Puel, Michel Butor…, et sous l'impulsion d'éditeurs, il réalise de nombreux livres de bibliophilie à partir de 1995.
James Coignard le présente à l'atelier Pasnic avec qui il travaille maintenant depuis plus de vingt ans pour ses gravures. Il côtoie notamment les artistes Max Papart, Pierre-Marie Brisson, Hervé Di Rosa, Arthur-Luiz Piza, Hans Steffens, James Guitet, Soichi Hasegawa, Serge Hélénon, Théo Tobiasse, André Cottavoz, Gérard Eppelé, …
Depuis 1981, institutionnels, galeries et marchands exposent son œuvre en France et à l'étranger.
Le Ministère des affaires étrangères lui octroie une résidence d'artistes en Finlande (1994), Egypte (1998, 1999, 2000, 2006), Maroc (2001, 2002), Islande (2007), E.A.U. (2007, 2008), Jordanie (2009), Laos (2012). Lors de ces séjours, il représente la France à la Biennale internationale « Imagining the Book » à la bibliothèque d'Alexandrie, au Festival international d'art à Amman, au Printemps français à la bibliothèque nationale à Reykjavik et expose dans plusieurs centres culturels français.
Il expose dans de nombreux lieux institutionnels : château d'Aubenas (1993, 2001, 2005, 2011), Carmel de Tarbes (2003), chapelle de la Visitation Thonon-les-Bains (2004), Temple de Chaurey (2008) , médiathèque Toussaint d'Angers (2009, 2012), Grand Théâtre d'Angers (2012), … en galeries et librairies : Matarasso (Nice), Lacan (Strasbourg), Arcades, Arenthon, Nicaise, Demange, (Paris), Dazy (Dijon), Ducastel (Avignon), Raugraff (Nancy), Vasse (Lille),…
Il développe ses relations avec le monde de l'entreprise, travaille pour Compaq, Xerox, Socotec, Onyx, Groupe Tests, Caisse d'Epargne, Unicef,… De ses nombreux voyages en Europe, Japon, Corée, Egypte, Maroc, Islande, Emirats Arabes Unis, Oman, Laos, Cambodge, Thaïlande, il rapporte des matériaux, ainsi que des thèmes d'inspiration. Son œuvre s'interroge sur le rôle et les propriétés de la matière. La lumière jaillit ou transparaît, la couleur exulte, l'abstraction frôle la figuration. Une œuvre attentive aux coutumes et aux cultures. En cela, sa démarche artistique est moderne et spécifique, inscrite dans une expression « Abstraite lyrique matiériste » avec une dimension ethnologique.
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Quand est né(e) Bernard Alligand ?
L'année de naissance de l'artiste est : 1953