Jules Atarax

On pourrait voir en lui un Dante
moderne, un Dante qui se serait vu catapulté dans les années
deux-milles, car Jules Atarax est d'abord un poète dont la parution
du premier recueil de poésies « Ataraxie et Nébuleuses
désespérées » est prévu fin 2019.

C'est en réalité sur le tard qu'Atarax a commencer à peindre, plus précisément après une promesse
faite pendant ses phases d'écriture. Il découvre dans la peinture
une autre mécanique, bien plus libératrice que l'écriture qui lui
permet de passer d'un champ plutôt intellectuel, parfois extrêmement
rude à un champ organique, un éveil aux gestes, à la couleur, aux
sensations dans l'acte vrai, dans le goût de l'instinct.

Admirateur des fauvistes comme Soutine
ou Matisse, des impressionnistes tel Van Gogh ou Monet, des abstraits
avec Fréderic Benrath et Zao Wou-ki, des romantiques, Gaspard
Friedrich, William Turner, ou bien encore de l'Art Brut avec Soutter et
Basquiat, Atarax cherche à mettre du supplément d'âme dans son
travail: L'anima.

Une dimension
qui selon l'artiste est trop souvent sous estimée dans la conception
artistique.

Dans son
exécution, la démarche de d'Atarax est semblable au dripping de
Pollock, ou au surfing de Kazuo Shigara ; la danse, la libération par la
peinture.

Tout peut être
envisagé. Jules Atarax aime beaucoup griffer ses œuvres, y mettre des
sourires torves, terrifiants, y écrire,a amener à un festival de
couleurs.

Il en ressort
très souvent des visions tantôt douces, tantôt dures.Il s'y dégage
beaucoup d'expressivité. Quelque chose d'à la fois réel et
irréel... du néoexpressionisme ?

N'ayant suivi
aucun cursus artistique particulier,l'artiste qualifie lui-même son
travail d'Art Dégénéré, mais libre...