Précisez votre demande et nous vous recontacterons le plus rapidement possible
Annuler
Takahiro Kudo
Untitled (Horshoe Coin Purse), 2016
4 200 €
Essayez gratuitement l’oeuvre pendant 14 jours
L'oeuvre est disponible en retrait en galerie à Brussels, Belgique
Top Seller
Galerie d’art professionnelle
Brussels, Belgique
Vendeur certifié Notre équipe d'experts du monde entier approuve chaque vendeur.
Précisez votre demande et nous vous recontacterons le plus rapidement possible
Annuler
Demande envoyée
Votre demande de visuels supplémentaires a bien été prise en compte.
Demande non envoyée
Votre demande de visuels supplémentaires n'a pas été prise en compte suite à un problème
Technique
Sculpture : métal, Grillage, Matière organique, Peau artificielle
Dimensions cm | inch
9.5 x 8.5 x 2 cm 3.7 x 3.3 x 0.8 inch
Tirage
Oeuvre Unique
Authentification
Oeuvre vendue avec facture de la galerie
et certificat d’authenticité
Signature
Oeuvre signée
A propos de l'oeuvre
Oeuvre vendue en parfait état
Takahiro Kudo est originaire d’Osaka au Japon. Il a reçu une éducation stricte et conventionnelle qu’il qualifie de standardisée. Cette dernière influencera grandement ses choix futurs. Après un bachelor et un master au Kanazawa's College, il s’oriente vers le domaine médical dans l’orthopédie. Il cherchait alors à améliorer sa technique et sa précision pour ne développer que plus tard son projet de peau artificielle.
En 2010, après avoir obtenu un master au Kanazawa's College of Arts, il emménage en Belgique pour y suivre un second master à la K.A.S.K où il débute de nouveaux projets. En résonance avec son éducation conservatrice et standardisée, l’artiste place au coeur de son travail l’analyse du monde et la notion de restriction.
Il cherche ainsi à étudier l'interaction du corps et de la pensée ainsi que la forme de restriction qui s’instaure entre ces derniers. En effet, il utilise la métaphore de l’oiseau prisonnier de sa cage pour définir le corps humain qui pose les limite de l’être.
“Nous sommes comme des oiseaux à l'intérieur de cages. La cage est appelée le corps. Je pourrais préciser que cette cage est un cerveau, équipé d'organes sensoriels. Puisque l'activité mentale de chacun est générée par cette cage vivante, personne ne peut franchir cette limite.”
C’est sur cette affirmation que son travail repose. La notion de restriction apparaît comme le fil conducteur de son processus de production. L’artiste utilise aussi bien des mécanismes artificiels que des phénomènes naturels pour réaliser ses oeuvres.
C’est dans cette optique que l’artiste a développé son projet de peau artificielle, il emploie alors la forme comme restriction à l’expérience de la peau humaine. Il joue aussi avec les facteurs environnementaux, comme l’électricité ou l’humidité, pour priver les choses de leur substance, leur usage premier, et les transformer en matériaux simples. Il cherche à offrir au spectateur une nouvelle vision des choses, des objets, afin de leur permettre d’appréhender l’espace environnant avec un nouvel oeil. Il cherche à atteindre une forme de pérennité poétique.
Il a exposé majoritairement en Belgique mais aussi aux Pays-Bas, au Japon et en France.